Agriculture et alimentation

Pour certains petits exploitants en particulier, la crise a été l’occasion d’utiliser de nouvelles technologies, ou de recourir davantage à celles qu'ils connaissaient déjà. Stephen Kamau, agriculteur du comté de Tharaka Nithi (Kenya), est l’un d’entre eux.

L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) vous explique comment acheter et préparer des aliments en toute sécurité.

L'une des images les plus frappantes de la pandémie de coronavirus (COVID-19), c'est le contraste entre des agriculteurs contraints de jeter les stocks de lait, d’œufs et de légumes qu’ils n’arrivent plus à écouler, et des consommateurs qui ne trouvent que des rayons vides, après avoir longtemps fait la queue devant les magasins d'alimentation. Comment expliquer une surabondance de produits agroalimentaires d'un côté et des pénuries de l'autre ? La Banque mondiale vous l'explique. 

 

Depuis la crise de la COVID-19, la vie a changé pour les entrepreneurs et les entreprises du monde entier. Les mesures de confinement et de restriction des déplacements ont privé les petits agriculteurs et les entreprises rurales de la possibilité d’accéder aux marchés et de vendre leurs produits ou d’autres denrées. Cependant, les jeunes entrepreneurs agricoles possèdent de bonnes connaissances en technologie et adaptent rapidement leurs modèles économiques en mettant à profit les outils numériques.

 

Depuis le début de l’année 2020, l’attention s’est largement portée, à l’échelle mondiale, sur la pandémie de COVID-19. Cette période difficile nous rappelle toute l’importance de la coopération internationale et la nécessité d’avoir un système multilatéral solide. Dans ce contexte, il est essentiel, en parallèle avec la fourniture nécessaire d’une aide d’urgence, que la communauté mondiale continue de répondre aux besoins des plus vulnérables, rappelle le rapport annuel du Fonds international de développement agricole (FIDA). 

 

Il fut un temps où l'agriculture industrielle semblait être la panacée pour un monde en pleine croissance. Voici 10 choses à savoir à son sujet. 

2020 est l'année de la prise en compte des systèmes alimentaires mondiaux. En quelques mois seulement, la COVID-19 a mis la moitié du globe sous cloche. Elle a montré combien la chaîne alimentaire mondiale, fortement centralisée et fonctionnant sur la base d'un approvisionnement juste à temps, est susceptible de vaciller face aux chocs. 

La dernière édition de  estime que près de 690 millions de personnes ont souffert de la faim en 2019, soit une augmentation de 10 millions par rapport à 2018, et de près de 60 millions en cinq ans. Le monde n’est pas en voie d’atteindre l’objectif « Faim zéro » d’ici à 2030. Si les tendances récentes se poursuivent, le nombre de personnes touchées par la faim dépassera les 840 millions d’ici à 2030. En outre, une alimentation saine est inabordable pour de nombreuses personnes, en particulier pour les pauvres, quelle que soit la région du monde, souligne le rapport. 

 

 

Guadalupe Moller vit à Turco, un petit village dans l'ouest rural de la Bolivie. Elle a passé la plus grande partie de sa vie à La Paz, la capitale bolivienne, mais il y a quatre ans, elle est retournée à Turco, dont sa famille est originaire.

 

Au Panama, les agriculteurs familiaux ne comptent pas laisser la pandémie de COVID-19 ruiner leur toute nouvelle entreprise de café.

Le Lesotho abrite parmi ses montagnes, ses canyons et ses prairies l'un des bassins hydrauliques les plus importants d’Afrique, le berceau des rivières Senqu (Orange) et Tugela. Cet écosystème afro-alpin est cependant aussi fragile que magnifique et se retrouve poussé à ses limites par la culture intensive, le surpâturage et la surexploitation des ressources naturelles. 

La Géorgie et d’autres pays dans le monde misent sur un étiquetage indiquant l’origine géographique d'un produit pour protéger leurs traditions culinaires. 

Le Fonds international de développement agricole (FIDA) promeut une croissance agricole écologiquement viable et intégrée aux écosystèmes. 

La vague d'infections à coronavirus qui a balayé le monde n'a pas encore atteint les villages et les communautés agricoles des régions les plus reculées d’Angola. Une nouvelle campagne lancée conjointement par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le ministère angolais de l'agriculture vise à maintenir cette situation. 

L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et ses partenaires ont créé pour mieux comprendre les systèmes alimentaires.