Des millions de personnes dans le monde réagissent de manière créative pour atténuer les perturbations de la chaîne d'approvisionnement alimentaire dues à la pandémie de COVID-19, qui risquent de rendre la nourriture moins disponible là où elle est le plus nécessaire. Dans ce scénario, les solutions qui raccourcissent la chaîne d'approvisionnement alimentaire, y compris l'agriculture verticale et urbaine, ont pris une importance nouvelle.
Agriculture et alimentation
Célébrons cette boisson populaire qui est importante pour les agriculteurs, le développement et la culture! Le thé est la boisson la plus souvent consommée dans le monde après l'eau.
La production et la transformation du thé constituent l’une des principales sources de revenus pour des millions de familles dans les pays en développement, ainsi que le principal moyen de subsistance pour les familles les plus pauvres des pays les moins avancés. Le 21 mars est la Journée internationale du thé. Elle permet de sensibiliser le public à l’importance que revêt le thé dans le développement rural et assurer des moyens de subsistance durables. Il s'agit aussi d’encourager la mise en place d’actions collectives et de mesures favorables à une production et une consommation durables de thé.
Les abeilles et les autres pollinisateurs, tels que les papillons, les chauves-souris et les colibris, sont de plus en plus menacés par les activités humaines. La pollinisation est cependant un processus fondamental pour la survie des écosystèmes car de lui dépendent la reproduction de près de 90% des plantes sauvages à fleurs du monde, ainsi que 75% des cultures vivirères et 35% des terres agricoles à l’échelle de la planète. Non seulement les pollinisateurs contribuent directement à la sécurité alimentaire, mais ils constituent aussi des leviers essentiels pour la conservation de la biodiversité. Ce 20 mai, découvrez ce que vous pouvez faire pour protéger les pollinisateurs et pour en savoir plus sur l'apiculture au temps de la COVID-19 !
Les abeilles et les autres pollinisateurs, tels que les papillons, les chauves-souris et les colibris, sont de plus en plus menacés par les activités humaines. La pollinisation est cependant un processus fondamental pour la survie des écosystèmes car de lui dépendent la reproduction de près de 90% des plantes sauvages à fleurs du monde, ainsi que 75% des cultures vivirères et 35% des terres agricoles à l’échelle de la planète. Non seulement les pollinisateurs contribuent directement à la sécurité alimentaire, mais ils constituent aussi des leviers essentiels pour la conservation de la biodiversité. Ce 20 mai, découvrez ce que vous pouvez faire pour protéger les pollinisateurs et pour en savoir plus sur l'apiculture au temps de la COVID-19 !
Les recrudescences de criquets pèlerins ne sont pas un phénomène nouveau. Le criquet pèlerin est l'un des plus anciens ravageurs migrateurs du monde et a ravagé les cultures à travers la planète pendant des siècles. Capable de manger son propre poids en nourriture, cet insecte ne doit jamais être sous-estimé.
La routine n'est plus la même pour les agriculteurs et pêcheurs d'El Palmar, en Espagne, qui s'adaptent aux changements provoqués par la pandémie de COVID-19 et aux restrictions mises en place. El Palmar est une petite localité, située dans la partie sud du territoire de L'Horta, un système d'irrigation déclaré par l' Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). La région fournit une alimentation saine à un million et demi de Valenciens.
La pandémie de COVID-19 menace de créer une pénurie alimentaire pour des centaines de millions de personnes dans le monde, principalement en Afrique, souligne Programme alimentaire mondial (PAM), agence des Nations Unies en première ligne dans le combat contre l’insécurité alimentaire et la faim.
L'augmentation de la population, l'accroissement de la demande alimentaire et les changements d'utilisation des terres ont dégradé environ 33 % des sols de la planète. C’est à nous, maintenant, de trouver des solutions innovantes pour les protéger. De nouvelles avancées dans l’analyse des sols pourraient améliorer les performances de notre système alimentaire.
Le plus grand port de pêche d'Europe, celui de Vigo, en Espagne, doit se battre pour poursuivre ses activités pendant la pandémie COVID-19.
En 2017, la FAO a lancé un projet pilote dans la région de Jalal-Abad au Kirghizistan. L’objectif était de développer les moyens d’existence et les revenus mais aussi la nutrition. La participation à ce projet a été un véritable tournant dans la vie de Bermet et de sa famille.
Aujourd'hui, nous sommes à un tournant. Le nombre de personnes vivant en situation d'extrême pauvreté a chuté, passant de 2 milliards en 1990 à 736 millions en 2015, mais les populations les plus pauvres et les plus marginalisées continuent d’être laissées pour compte. Pour atteindre les objectifs d’élimination de la pauvreté extrême et de la faim que le monde s’est fixés, il faut intensifier les investissements ciblés dans les zones rurales. Le Fonds international de développement agricole (FIDA) joue un rôle essentiel et lance son appel à reconstitution des ressources pour la période 2022- 2024.
Haricots secs, lentilles, pois chiche… La cuisine et les plats traditionnels des quatre coins du monde font la part belle aux légumineuses, qui existent depuis des millions d’années. Les légumineuses sont riches en nutriments et ont une teneur élevée en protéines, ce qui en fait une source de protéines idéale, en particulier dans les régions où la viande et les produits laitiers ne sont pas accessibles pour des raisons géographiques ou économiques. La Journée internationale des légumineuses (10 février) est une occasion unique de sensibiliser le public à leurs avantages nutritionnels et aux possibilités qu'elles offrent en vue d'atteindre les Objectifs du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
Depuis 2011, le conflit syrien a durement frappé les familles, en particulier les femmes. Beaucoup ont perdu un mari, un père, un soutien. Certaines ont dû repartir de rien. Elles ont dû apprendre à trouver les formations et les ressources dont elles avaient besoin. L'Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) s'est associée au projet « Slow Food International » pour offrir aux femmes syriennes la possibilité d'acquérir les compétences et la confiance dont elles ont besoin pour développer leur production agricole et identifier des marchés.
La portabilité et la mobilité des technologies numériques peuvent transformer l'agriculture et la production alimentaire, explique l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).