Décideurs politiques et experts de haut niveau examineront comment la science, la technologie et l'innovation peuvent aider le monde à mieux se remettre de la pandémie de COVID-19 au cours de la , qui se tiendra du 28 mars au 1er avril à Genève et en ligne.
Science et technologie
L'intelligence artificielle joue un rôle dans la vie de milliards de personnes. Parfois inaperçue, mais souvent avec des conséquences profondes, elle transforme nos sociétés et remet en question ce que signifie être humain.
La pandémie de COVID-19 a souligné d'importantes inégalité et l'exclusion dans le monde numérique, en particulier pour les populations à risque. L'Union internationale des télécommunications publie des pour garantir que les informations, services et produits numériques sont accessibles à tous, y compris les personnes handicapées. Les technologies nouvelles et émergentes et l'intelligence artificielle offrent de nouveaux moyens de faire face à la pandémie et d'en sortir.
Suite à une faite par les États Membres à l'occasion du 75e anniversaire de l'ONU, le rapport Notre programme commun se penche sur les 25
Malgré le bilan humain et économique de la pandémie de COVID-19, les gouvernements et les entreprises de nombreuses régions du monde ont augmenté leurs investissements dans l’innovation.
NIdhi Mayurika fait partie de la Génération Égalité d’ car selon elle, créer un avenir équitable signifie éduquer les anciennes et nouvelles générations à examiner et à remettre en question les normes sociales.
L'économie numérique basée sur les données est en plein essor selon le Rapport sur l'économie numérique 2021 de la . Cependant, les poids lourds des plateformes numériques renforcent leur position dominante dans la chaîne de valeur mondiale des données, entraînant des déséquilibres de pouvoir.
La réponse de la communauté scientifique à la a démontré à quel point la peut accélérer les solutions face à un défi mondial. Les nouvelles pratiques et les outils ouverts améliorent tous les aspects de la recherche. C'est le partage et la collaboration qui garantissent une transparence, une reproductibilité et une crédibilité accrues des résultats de la recherche. La (21-23 juillet) se concentrera sur ce que la science ouverte a appris de la pandémie de COVID-19 et sur la manière dont elle peut être appliquée à la résolution de la crise climatique mondiale.
Le arrive à point nommé, alors que nous serons bientôt à mi-chemin de la date butoir pour atteindre les objectifs de développement durable en 2030. Les priorités de développement se sont homogénéisées au cours des cinq dernières années. Les pays, quel que soit leur niveau de revenu, ont fait de leur transition simultanée vers des économies numériques et « vertes » une priorité. Cependant, pour être intelligente, la révolution numérique devra être inclusive. Les femmes restent sous-représentées dans les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques (STIM). Lors de la , le 11 juin, une vidéo sera projetée et des experts discuteront des conclusions principales du rapport.
Les partenariats et les modèles commerciaux durables peuvent contribuer à rendre les technologies accessibles aux communautés pauvres pour améliorer leurs moyens de subsistance et atteindre les objectifs de développement durable.
Les mégatendances, notamment les nouvelles technologies, l'évolution démographique, l'urbanisation rapide et les tendances migratoires, ainsi que les changements climatiques, façonnent notre monde de manière spectaculaire. La pandémie prolongée de COVID-19 a démontré l'importance des technologies numériques pour le travail, l'éducation et la communication. Cette année, la commémoration de la Journée internationale des familles (15 mai) se concentre sur les conséquences de ces nouvelles technologies sur le bien-être des familles.
La Directrice générale de l'UNESCO a salué la décision des États-Unis et de nombreux autres pays de demander la levée de la protection du brevet sur les vaccins contre la COVID-19. Cet élan croissant répond à l' par l'UNESCO, l'OMS et le HCR pour ouvrir la science et stimuler la coopération scientifique. Avec la pandémie, le monde a effectivement été plongé dans une nouvelle ère de recherche scientifique, contraignant tous les pays à définir les règles et les normes communes indispensables pour travailler plus efficacement face aux bouleversements en cours.
Alors que l'internet semble être partout, plus de 3 milliards de personnes dans le monde ne sont toujours pas connectées. Mme Ubalijoro fait partie d'une nouvelle initiative lancée par le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), qui utilise la technologie numérique pour lutter contre certains des problèmes sociaux et environnementaux les plus difficiles à résoudre dans le monde.
Des filles du monde entier utilisent l’innovation et la technologie pour résoudre des problèmes, unir les communautés et comme force pour le bien et l’égalité. Et pourtant, les femmes et les filles sont toujours sous-représentées dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STEM). Dans une économie mondiale de plus en plus numérisée, la fracture numérique entre les sexes a de graves répercussions sur les droits des filles et des femmes. Pour , trois choses sont nécessaires : faciliter un accès équitable aux technologies numériques et à Internet pour les filles et les femmes ; encourager et investir dans les filles et les femmes afin de développer leurs compétences dans le domaine des technologies de la communication et de l’information (TIC) ; et permettre aux femmes et aux filles d’occuper des rôles de leadership dans les domaines de la technologique.
Depuis mars 2020, à la demande des gouvernements du monde entier, l'Agence internationale de l'énergie atomique () a fourni du matériel et une assistance pour la détection rapide et précise de la COVID-19 à 286 laboratoires dans 128 pays et territoires, dont 44 en Afrique. L’appui de l'AIEA a pour objet de renforcer l'utilisation de la réaction en chaîne par polymérase en temps réel après transcription inverse (ou ), la technique dérivée du nucléaire la plus précise et la plus employée pour détecter le matériel génétique spécifique des pathogènes, y compris les virus.