Science et technologie

Les mathématiques, avec leurs nombreuses applications techniques, sous-tendent désormais tous les domaines de notre vie. Elles jouent un rôle essentiel dans la réalisation des objectifs de développement durable, souligne l'.

Les pays d’Afrique subsaharienne et d’autres régions en développement sont les moins préparés pour la nouvelle vague technologique. Un rapport de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement () met en lumière ceux qui sont les plus performants.

Le 11 février dernier, à l'occasion de la Journée internationale des femmes et des filles de science, l’Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture () et la Fondation L’Oréal ont distingué dans les domaines de l’astrophysique, des mathématiques, de la chimie et de l’informatique dans le cadre du 23e Prix international Pour les Femmes et la Science. Découvrez le palmarès des cinq femmes scientifiques d'exception reconnues pour l'excellence de leurs recherches dans les sciences de la vie.

 

Il y aura bientôt un an que l’épidémie de COVID-19 a été déclarée comme pandémie par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Tous les pays du monde ont ressenti d’une manière ou d’une autre les effets de cette pandémie. Les femmes et les filles qui se sont investies dans les sciences sont en première ligne de la riposte. Elles dispensent des soins de santé et elles découvrent des innovations. Elles se livrent à des recherches sur les vaccins et sont des pionnières de certains traitements, comme l’explique , l'Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes. 

 

 

Une  constate que les nouvelles technologies comme l’intelligence artificielle, l’apprentissage automatique, la robotique, les mégadonnées et les réseaux risquent de creuser l’écart entre les pays pauvres et les pays riches en orientant davantage d’investissements vers les pays avancés où l’automatisation est déjà établie. 

Le prix international UNESCO-Russie Mendeleïev pour les sciences fondamentales vise à promouvoir et à honorer l'excellence dans les sciences fondamentales, à savoir les disciplines de la chimie, de la physique, des mathématiques et de la biologie.

Les découvertes et les avancées scientifiques doivent être partagées. Tel est le sens de la Déclaration en faveur de la « science ouverte » signée conjointement le 27 octobre par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (), l’Organisation mondiale de la Santé () et le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (). L’épidémie de COVID-19 démontre le besoin urgent de renforcer la coopération scientifique et de garantir le droit fondamental à l'accès universel au progrès scientifique et à ses applications.

 

Après une large consultation mondiale, l’ a soumis le 30 septembre, à ses 193 États membres, un projet de Recommandation sur la science ouverte, étape majeure pour faciliter la coopération internationale et l'accès universel à la connaissance scientifique. Le projet comprend notamment une proposition de définition de la science ouverte, de ses objectifs, un cadre de valeurs et de principes partagés.

 

 

La crise sociale et économique sans précédent provoquée par la pandémie de COVID-19 a mis en exergue le rôle de la finance numérique dans l’aide apportée à des millions de personnes à travers le monde, dans le soutien aux entreprises et dans la protection des emplois et des moyens de subsistance. Un nouveau rapport intitulé , expose un programme d’action pragmatique et ambitieux.

L'une des images les plus frappantes de la pandémie de coronavirus (COVID-19), c'est le contraste entre des agriculteurs contraints de jeter les stocks de lait, d’œufs et de légumes qu’ils n’arrivent plus à écouler, et des consommateurs qui ne trouvent que des rayons vides, après avoir longtemps fait la queue devant les magasins d'alimentation. Comment expliquer une surabondance de produits agroalimentaires d'un côté et des pénuries de l'autre ? La Banque mondiale vous l'explique. 

 

Les recommandations de la Coalition des villes pour les droits numériques peuvent orienter les responsables dans leur utilisation des technologies face à des crises comme la COVID-19.

L’Agence internationale de l’énergie atomique () a décerné une bourse à 100 étudiantes du monde entier, premières bénéficiaires d’une nouvelle initiative dont le but est de contribuer à réduire l’écart entre les sexes dans les domaines de la science et de la technologie nucléaires. Ces 100 premières boursières ont été choisies parmi plus de 550 candidates originaires de plus de 90 pays.

2020 a commencé comme une année normale pour le Dr Fridtjof Nansen, le seul navire de recherche marine à battre pavillon des Nations Unies. Avec un calendrier ambitieux de campagnes d'étude, le navire était censé naviguer le long de l'Afrique de l'Ouest, collectant des données au large des côtes et en haute mer pour ses recherches sur l'état des ressources marines et la santé de nos océans, une mission qu'il mène depuis 1975. La COVID-19 est apparue au beau milieu de la campagne effectuée par 21 scientifiques à bord du navire de recherche marine. Lorsque de nombreuses frontières ont fermé, sept scientifiques du Sénégal, de la Mauritanie et de la Gambie n'ont pas pu rentrer chez eux.

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Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a présenté un . Le défi technologique posé par la COVID-19 a été colossal. La technologie numérique n’existe pas dans le vide – si elle dispose d’un énorme potentiel en termes de transformation positive, elle peut également multiplier et creuser les failles existantes et aggraver les inégalités économiques et autres. En 2019, près de 87 % des personnes utilisaient l’Internet dans les pays développés, contre seulement 19 % dans les pays les moins développés.

La  (23 avril) a été instituée pour encourager les filles et les jeunes femmes à tirer parti du formidable potentiel que recèlent les carrières du secteur de l’informatique et des communications. La situation inédite dans laquelle nous met la pandémie de COVID-19 démontre aujourd’hui que l’informatique et les communications sont vitales pour nos sociétés, rappelle le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres dans publié à l'occasion de cette journée internationale.