Emploi

Au Pakistan, un projet de l’Organisation internationale du Travail (OIT) organise des actions de sensibilisation auprès des personnes tentées d’émigrer pour trouver du travail. Il s’agit de leur apprendre à réaliser leur projet sans prendre de risques.

 

Une crise humanitaire se déroule en mer et il est urgent d'agir pour protéger la santé des marins et assurer la sécurité de la navigation, prévient l'Organisation maritime internationale (OMI). On estime que plus de 300 000 marins et membres du personnel maritime sont présentement bloqués en mer et sont incapables d'être rapatriés malgré l'expiration de leurs contrats en raison des restrictions liées à la pandémie de COVID-19. 

 

L’Organisation internationale du Travail (OIT) a mobilisé des ressources pour tenter de remédier au plus vite aux conséquences de l’explosion qui a dévasté plusieurs quartiers de la capitale libanaise le 4 août dernier.

Les 187 Etats Membres de l’Organisation internationale du Travail (OIT) ont tous ratifié la Convention de l’OIT sur les pires formes de travail des enfants.

L’Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) a  présenté l'initiative Académie mondiale des compétences,  visant à doter un million de jeunes de compétences en matière d'employabilité et de résilience et à les aider à trouver un emploi pendant la récession qui s'annonce, alors que les perspectives d'emploi des jeunes s’assombrissent. Des compétences dans des domaines tels que l'analyse des données, l'informatique en nuage, l'intelligence artificielle et l'apprentissage machine sont demandées sur les marchés du travail du monde entier. Or, de nombreux systèmes d'éducation et de formation ne disposent pas des capacités nécessaires pour préparer les jeunes à l'emploi dans ces domaines.

 

La pandémie de COVID-19 a changé notre monde d'une manière inimaginable. Ces récits brossent un tableau saisissant de son impact sur le monde du travail.

 

À mesure que s’aggrave la crise de l’emploi, la reprise du marché du travail demeure incertaine. L’Organisation internationale du Travail (OIT) attire l’attention sur le fait que le nombre d’heures de travail perdues dans le monde au cours du premier semestre 2020 est largement supérieur à ce qui avait été prévu, tandis que la reprise hautement incertaine au deuxième semestre ne suffira pas à revenir aux niveaux antérieurs à la pandémie. Il existe un risque de voir se poursuivre les pertes d’emploi à grande échelle.

Contraints de rentrer chez eux après avoir perdu leur travail suite à la pandémie de COVID-19, des dizaines de millions de travailleurs migrants sont désormais confrontés au chômage et à la pauvreté dans leurs pays d’origine, avertit l’Organisation internationale du Travail (OIT).

La crise de la COVID-19  a révélé des lacunes désastreuses dans la couverture de protection sociale des pays en développement, et la reprise ne sera durable que s’ils parviennent à convertir leurs mesures ponctuelles de réponse à la crise en systèmes de protection sociale complets, selon l’Organisation internationale du Travail (OIT).

Cette pandémie a mis cruellement en évidence la précarité et les injustices extraordinaires de notre monde du travail, explique le Directeur général de l'Organisation internationale du Travail (OIT), Guy Ryder.

Two men wearing hospital protective gear.

Devant les défis auxquels font face de nombreux pays dans le monde pour lutter contre la pandémie de COVID-19, la Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail (28 avril) se concentre cette année sur la réponse aux flambées de maladies infectieuses au travail, avec un accent particulier sur la pandémie de COVID-19. Des mesures appropriées de sécurité et de santé au travail peuvent en effet jouer un rôle crucial pour ralentir la propagation des maladies, tout en protégeant les travailleurs et la société dans son ensemble.

La pandémie COVID-19 a un effet catastrophique sur le temps de travail et les revenus, à l'échelle mondiale. Un nouveau rapport de l'OIT met en lumière certains des secteurs et des régions les plus touchés, et définit des politiques visant à atténuer la crise.

Il n’y a pas si longtemps, Abolghasem, 36 ans, résidant de la ville de Seh Qale, dans la province du Khorassan méridional (est de l’Iran), allait à la mine extraire les pierres noires qui servent à orner les rues pavées des villes. Il a suivi depuis une formation de lapidaire (taille des pierres semi-précieuses), proposée dans le cadre du projet de la FAO de remise en état des paysages forestiers et des terres dégradées. Il a également reçu un prêt octroyé par le fonds communautaire du village, aussi soutenu par le projet de la FAO.

A woman working in a street print and photocopy shop

Des inégalités importantes, définies par le sexe, l’âge ou encore la situation géographique, demeurent des caractéristiques tenaces des marchés du travail et limitent aussi bien les perspectives individuelles que la croissance économique générale, . La persistance et l’ampleur de ces inégalités professionnelles empêchent des millions de personnes de trouver un emploi décent et d’accéder à un avenir meilleur. La seule façon de parvenir à la justice sociale, de lutter contre les inégalités, de réduire la pauvreté et de s’attaquer aux changements climatiques, c’est de privilégier les êtres humains et la planète. Le 20 février, à l'occasion de la Journée mondiale de la justice sociale, l’OIT vous invite à en utilisant le hashtag #MyFutureOurPlanet (« Mon avenir, notre planète »).

Dans l’est de l’Iran, Fatemeh subvient aux besoins de ses enfants grâce à la vente de biscuits. Ce qui n’était qu’un moyen de joindre les deux bouts s’est transformé en une biscuiterie créatrice d’emplois pour d’autres femmes.