Des données publiées aujourd’hui par l’Organisation mondiale de la Գé (OMS) et l’UNICEF révèlent une stagnation de la couverture vaccinale infantile dans le monde en 2023, ce qui signifie que 2,7 millions d’enfants supplémentaires ont été privés d’une partie ou de la totalité des vaccins dont ils avaient besoin par rapport aux niveaux prépandémie de 2019. Plus de la moitié des enfants non vaccinés vivent dans l’un des 31 pays en situation de fragilité, de conflit ou de vulnérabilité, où les enfants sont particulièrement exposés aux maladies évitables en raison des perturbations subies par les services de sécurité, de nutrition et de santé et du manque d’accès à ces derniers. Ces tendances reflètent les défis actuels découlant des perturbations des services de soins de santé, des problèmes logistiques, de la réticence à la vaccination et des inégalités d’accès aux services.
Գé
Comment les vagues de chaleur affectent-elles les enfants ?
L' explique comment les vagues de chaleur nuisent à la santé et au bien-être des enfants. D’ici à 2050, chaque enfant sur la planète (soit plus de 2 milliards d’enfants) sera exposé à une fréquence accrue des vagues de chaleur.
L'albinisme est une maladie rare qui affecte la production de pigments mélaniques, touchant environ une personne sur 15.000 en Europe, et une personne sur 4.000 dans les pays africains.
Les personnes atteintes d'albinisme font souvent face à la stigmatisation et à la discrimination en raison de leur apparence distincte et de leur handicap visuel. Cette discrimination est encore plus accentuée dans certains pays africains où les traditions et croyances exacerbent leur marginalisation.
Le 20 juin dernier, les Nations Unies à Genève organisaient un événement autour de l'exposition de photos "White Ebony" de l'artiste belge Patricia Willocq à l'occasion de la Journée internationale de sensibilisation à l'albinisme.
Patricia Willocq et Antoine Gliksohn, Directeur exécutif de l'Alliance mondiale de l'albinisme sont les invités d'ONU Info Genève cette semaine.
De nouvelles données montrent qu’en 2022, près d’un tiers (31 %) des adultes dans le monde, soit environ 1,8 milliard de personnes, ne pratiquaient pas une activité physique conformément aux niveaux recommandés. L’inactivité physique expose les adultes à un risque accru de maladies cardiovasculaires telles que les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux, le diabète de type 2, la démence et les cancers comme le cancer du sein et le cancer du côlon.
À l’occasion de la , l’OMS et ses partenaires se réunissent autour du thème 20 ans de célébration du don de sang : merci à tous les donneurs de sang !
À l’école Senkadagala à Kandy, dans le centre de Sri Lanka, les élèves ont déjà commencé leurs cours dans le jardin scolaire. Certains poussent des brouettes, prêts pour la taille, le désherbage et la récolte des fruits et légumes destinés à leur repas. D’autres commencent leur journée dans les pépinières, où des anthuriums et des cactus en pot sont soigneusement entretenus pour être mis en vente, tout comme le sera l’excédent de la récolte des fruits et légumes du jardin scolaire. Ces jardiniers consciencieux sont sont atteints de déficiences visuelles et/ou auditives. L’école Senkadagala est une des 400 écoles sri-lankaises dans lesquelles le programme de jardins scolaires entrepreneuriaux a été mis en place par la FAO.
L'humanité bat tous les mauvais records en matière de réchauffement climatique. Les écosystèmes fragiles sont soumis à une pression énorme. Plus d'un million de plantes, d'animaux et d'autres êtres vivants risquent de disparaître. L'air pollué et la pollution chimique menacent nos terres, nos océans et notre santé. Mais la Journée internationale de la Terre nourricière, le 22 avril, nous rappelle que nous pouvons faire beaucoup, en tant qu'individus, pour lutter contre la triple crise planétaire du changement climatique, de la perte de la nature et de la biodiversité, et de la pollution et des déchets.
Une salle d'attente dans un hôpital au Rwanda. L'hépatite virale est la deuxième cause de décès par infection dans le monde, selon un rapport de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), et est actuellement en augmentation avec 3.500 décès par jour.
Sur toute la planète, les femmes passent 25 % de leur vie de plus que les hommes à vivre des problèmes de santé handicapants, ce qui est le résultat d’une inégalité dans la recherche en matière de santé, dans la collecte de données, dans la prestation des soins et dans l’investissement. On estime que ce « écart de santé des femmes » coûte à l’économie mondiale mille milliards de dollars. Toutefois, des innovatrices s’engagent pour combler ces lacunes et sauver des vies. Chioma Uzoma, une Nigériane de 26 ans, fait partie des 14 gagnantes du défi 4HerPower, une initiative de l'UNFPA visant à soutenir les innovations en matière de santé sexuelle et génésique pour les jeunes dans le monde entier.
Depuis ces 13 dernières années, le conflit fait rage au nord-ouest de la Syrie, laissant des cicatrices aussi bien sur la terre que sur ses habitants. La crise de la pénurie d’eau y a atteint un point de rupture, aggravé par les séismes. Le camp de Mustafa, comme de nombreux autres, est confronté à des pénuries d’eau prolongées en raison des dégâts subis par un réservoir d’eau surélevé essentiel pendant les séismes. Mais malgré le désespoir, ils sont restés confiants. L’Organisation internationale pour les migrations (OIM), par l’intermédiaire de son partenaire à Idleb, au nord-ouest de la Syrie, a réussi à reconstruire trois réservoirs surélevés, rétablissant ainsi l’accès à l’eau potable pour plus de 67 500 communautés touchées par le séisme.
L’interdépendance des personnes, des animaux, des végétaux et de l’environnement sur le plan de la santé est indéniable. L’approche « Une seule santé » repose sur cette trame complexe du vivant. Conçue pour équilibrer et optimiser toutes les composantes de notre écosystème sur un mode durable, cette approche holistique appelle différents secteurs d’activité, disciplines et communautés à œuvrer ensemble pour promouvoir le bien-être et pour s’attaquer aux facteurs qui menacent la santé et les écosystèmes. La FAO, en collaboration avec le PNUE, l’OMS et l’OMSA, promeut une approche «Une seule santé» destinée à prévenir, détecter et combattre la propagation des agents pathogènes et des maladies chez les animaux, chez les humains et dans l’environnement.
Les régions du centre et du nord du Mali sont depuis plusieurs années ravagées par une violence et une insécurité grandissantes. Des groupes terroristes ont pris le contrôle de nombreux villages isolés et de territoires plus larges, ce qui a provoqué des déplacements de masse et instillé la peur dans les communautés. L’accès aux services de santé maternelle, notamment aux soins obstétricaux et néonatals d’urgence, y est presque impossible. Et pour beaucoup, le trajet qui les sépare de l’accouchement est extrêmement risqué. Face à cette crise, l'UNFPA et ses partenaires multiplient leurs efforts pour fournir du matériel et former des soignants sur le terrain.
Les femmes et les filles ont été particulièrement affectées par les inondations dévastatrices qui ont frappé le Pakistan en 2022. Nisha, une fillette de sept ans, a dû marcher plusieurs kilomètres chaque jour pendant des mois pour accéder à de l'eau potable. Sampa, une veuve de 55 ans, est tombée malade après avoir bu de l'eau contaminée pendant les inondations. Ayant la responsabilité de s'occuper de son enfant de dix ans, elle s'est efforcée d'aller chercher de l'eau tous les jours sous une chaleur accablante. Les efforts de l'OIM pour construire des latrines, des stations de lavage des mains et des pompes manuelles dans les villages de Nisha et Sampa ont apporté un soulagement et amélioré l'accès à l'eau potable et aux services d'hygiène.
Regina est une entrepreneuse vivant avec le VIH en Zambie. Âgée de 60 ans, elle est membre d'un groupe de soutien qui s'efforce de surmonter la stigmatisation et la discrimination, grâce à un projet de génération de revenus mené par l'OIT et ses partenaires.
Elizabeth, infirmière, s’occupe d’un nouveau-né dans une couveuse haute technologie en Ukraine. Deux ans après l’invasion russe, un hôpital situé non loin du front sauve la vie des plus vulnérables de ses citoyen·ne·s, les bébés nés en temps de guerre, grâce à des couveuses de pointe permett