Dans le cadre de la campagne #DontGoViral (“Ne deviens pas viral’) lancée par l'UNESCO, le jeune artiste Salim M'ze Hamadi Moissi (Big Seush) a travaillé avec son équipe de talentueux danseurs hip hop pour réaliser une vidéo ayant comme objectif de sensibiliser les jeunes Comoriens aux bonnes pra
Գé
Hip Hop pour la COVID-19
Il est essentiel que nous réduisions au minimum la stigmatisation liée aux coronavirus, car cela pourrait aggraver cette situation difficile.
La pandémie de COVID-19 a placé des gens de mer partout sur la planète dans des situations précaires. En raison des restrictions aux déplacements, certains ne peuvent pas quitter leur navire, être rapatriés chez eux, ou même obtenir une assistance médicale d'urgence. D'autres gens de mer ont vu leurs contrats résiliés unilatéralement ou se sont retrouvés en quarantaine à bord de navires pendant plus de 14 jours, sans être payés.
Tout au long de sa carrière, le Dr Vicente Estrada, spécialiste espagnol des maladies infectieuses, s’est attaché à étudier et à combattre le VIH. Mais quand Madrid, la ville où il habite et où il travaille, est devenue l’un des épicentres de la COVID-19, le Dr Estrada et ses collègues ont réorienté leurs activités pour contribuer à trouver un traitement contre cette maladie qui a des effets dévastateurs dans de nombreux pays.
Plusieurs pays asiatiques et européens où l’épidémie de COVID‑19 semble avoir atteint un pic rouvrent progressivement leur économie. À défaut de vaccin ou de traitement efficace, les autorités doivent faire des choix entre les avantages d’une reprise de l’activité économique et le coût potentiel d’une remontée des taux d’infection.
L’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), le Programme alimentaire mondial (PAM) et la Banque mondiale ont publié de nouvelles lignes directrices sur la réouverture en toute sécurité des établissements scolaires.
Fausses nouvelles, rumeurs, pseudo conseils médicaux, théories complotistes : la désinformation née de la pandémie de COVID-19 gagne en ampleur, portant un mauvais coup aux efforts mondiaux déployés contre le coronavirus. Les Nations Unies répondent à cette « infodémie » toxique par la diffusion d’informations factuelles et précises, tout en rappelant que l’heure est à la science et à la solidarité.
La pandémie de COVID-19 ayant provoqué l’arrêt brutal de l’activité touristique, les Nations Unies déploient de grands efforts pour tenter d’amortir l’impact socioéconomique de cette crise sur les petits États insulaires en développement (PEID), déjà confrontés à l’accumulation des défis liés au changement climatique.
La pandémie de COVID-19 exacerbe les vulnérabilités de millions de migrants, de déplacés internes et de réfugiés, des personnes particulièrement à risque qu’il est urgent de protéger face à la progression planétaire du coronavirus, avertissent les Nations Unies en appelant à une solidarité accrue avec ces populations et les communautés d’accueil.
Les efforts déployés contre la pandémie de coronavirus ont entraîné une réduction de l’activité industrielle et des améliorations localisées de la qualité de l’air. La diminution des émissions de gaz à effet de serre ne doit toutefois pas dispenser d’une action climatique durable, font valoir les Nations Unies au moment où de nombreux pays préparent des plans de sortie de crise.
La pandémie de COVID-19 exacerbe les vulnérabilités de millions de migrants, de déplacés internes et de réfugiés, des personnes particulièrement à risque qu’il est urgent de protéger face à la progression planétaire du coronavirus, avertissent les Nations Unies en appelant à une solidarité accrue avec ces populations et les communautés d’accueil.
Avec la levée progressive du confinement dans certains pays, des établissements scolaires et universitaires rouvrent leurs portes et de nombreux autres s’apprêtent à le faire prochainement. Les Nations Unies entendent accompagner ce mouvement en appuyant et conseillant les gouvernements dans le contexte d’une pandémie de COVID-19 appelée à durer.
En grand danger face à la maladie de COVID-19, les peuples autochtones sont des partenaires indispensables dans la lutte contre la pandémie, ne serait-ce que par leur connaissance fine des écosystèmes, soutiennent les Nations Unies, en réitérant leur appel au respect des droits de ces populations vulnérables.
La pandémie limite beaucoup les services de santé sexuelle et reproductive dans le monde. Dans de nombreuses régions, les ressources dédiées à la santé sont réorientées vers la réponse à la pandémie de COVID-19. Le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) rend hommage aux sages-femmes et aux mères, et appelle ses partenaires et les gouvernements du monde entier à prendre toutes les mesures pour assurer leur sécurité et leur santé.
Découvrez cette vidéo qui nous parle de la relation délicate entre l'homme, la faune et les agents pathogènes qui circulent entre eux dans le contexte de la pandémie de COVID-19.