Près de la moitié des grossesses ne sont pas délibérément choisies par les femmes et les filles. La crise négligée des grossesses non intentionnelles est le sujet du phare de l’sur l’état de la population mondiale 2022, récemment publié.
Près de la moitié des grossesses ne sont pas délibérément choisies par les femmes et les filles. La crise négligée des grossesses non intentionnelles est le sujet du phare de l’sur l’état de la population mondiale 2022, récemment publié.
Un nouveau de l’ souligne l’utilisation croissante de techniques sophistiquées de marketing en ligne pour l’alcool et la nécessité d’une réglementation plus efficace.
Une étude réalisée en 2021 à partir des données de la base de données sur l’eau doublement marquée de l’ révèle des informations sur l’efficacité des exercices physiques pour la perte de poids. Les résultats ne sont pas aussi évidents qu’on pourrait le croire.
Le de l' a déterminé que l’investissement dans un accès universel à des soins obstétricaux de qualité pourrait sauver 4,3 millions de vie chaque année d’ici 2035, en réduisant la mortalité maternelle et infantile ainsi que la mortinatalité.
La , célébrée la dernière semaine d'avril, vise à mettre en lumière l'action collective nécessaire et à promouvoir l'utilisation des vaccins pour protéger les personnes de tous âges contre la maladie.
Près de l’ensemble de la population mondiale (99 %) respirent un air qui dépasse les limites fixées par l’ pour la qualité de l’air et menace leur santé. Un nombre record de plus de 6 000 villes dans 117 pays surveillent désormais la qualité de l’air, toutefois les habitants de ces villes y respirent toujours des niveaux dangereux de particules fines et de dioxyde d’azote.
Les autorités caboverdiennes se sont associées à la pour entreprendre une tâche ambitieuse : vacciner en toute sécurité des centaines de milliers d’habitants dans tout l'archipel aussi rapidement et efficacement que possible, afin de relancer l'activité économique - et notamment le tourisme, vital pour le pays - au plus vite.
Les nouvelles recommandations de l' soulignent qu’il est urgent d’apporter un soutien pour la santé physique et mentale pendant la période postnatale. Au total, les nouvelles lignes directrices comportent plus de 60 recommandations qui aident les femmes, les nouveau-nés et les familles à avoir une expérience postnatale positive.
Le docteur Denis Mukwege est un militant infatigable des droits humains.
L’OMS a publié de nouvelles lignes directrices sur les soins liés à l’avortement afin de protéger la santé des femmes et des filles et de contribuer à prévenir plus de 25 millions d’avortements non sécurisés chaque année.
Depuis que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a qualifié la situation de « pandémie » il y a deux ans, nous n'aurions jamais pu imaginer à quel point elle allait envahir tous les aspects de notre vie, avec des conséquences catastrophiques sur notre santé physique et mentale, nos systèmes de santé, nos emplois, l'éducation, les chaînes d'approvisionnement ou la confiance dans les systèmes conçus pour nous protéger. Si les pandémies sont le lot de la vie humaine, le monde a pourtant été pris de court par l'impact et les ravages de la COVID-19. Mais si nous agissons aujourd’hui, cette pandémie pourrait être la dernière en son genre.
« Pour entendre à vie, ménageons notre audition ! » : le thème de la Journée mondiale de l’audition (3 mars) insiste sur l’importance et les moyens de prévenir les déficiences auditives grâce à une écoute sans risque.
Nous assistons à un ralentissement des progrès en matière de réduction des nouvelles infections au VIH, d'amélioration de l'accès au traitement et d'élimination de la mortalité liée à des maladies opportunistes, avertit . Les données les plus récentes sur le VIH pour 2020 sont disponibles, ventilées également par région.
70% des vaccins contre la COVID-19 ont été distribués aux dix plus grandes économies du monde, mais les pays les plus pauvres n'en ont reçu que 0,8%. Cette inégalité n'est pas seulement injuste, elle constitue une menace pour le monde entier.
Selon un récent rapport de l’Organisation mondiale de la Գé, près de sept millions de décès pourraient être évités d’ici à 2030 si les pays à revenu faible ou intermédiaire de la tranche inférieure augmentaient de moins d’un dollar par personne et par an leurs investissements dans la prévention et le traitement des maladies non transmissibles (MNT). Les maladies non transmissibles, dont font partie les maladies cardiaques, le diabète, le cancer et les maladies respiratoires, sont actuellement responsables de sept décès sur dix dans le monde. Pourtant, leurs répercussions dans les pays aux revenus plus faibles sont souvent sous-estimées.