CNUCED

La CNUCED appelle à des actions globales audacieuses pour décarboner le transport maritime et assurer une transition juste.

Une nouvelle analyse comble les lacunes dans les données, aidant les pays à savoir combien ils doivent dépenser - et comment allouer au mieux leurs ressources financières pour réaliser les ODD.

La CNUCED organise le Forum mondial de l'investissement 2023 afin de mobiliser les investissements en faveur de l'action climatique, des énergies propres, des soins de santé, de la sécurité alimentaire et d'autres besoins de développement. « Alors que le monde est confronté à de multiples crises, nous avons besoin de toute urgence que les acteurs de l'investissement du monde entier passent à l'action, débloquent davantage de fonds et les canalisent vers des secteurs vitaux pour réduire les effets de ces crises », a déclaré Rebeca Grynspan, Secrétaire générale de la CNUCED.

La CNUCED a publié de nouvelles lignes directrices pour la collecte de données afin d'aider les décideurs politiques à lutter contre les inégalités de genre dans le commerce.

Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a présenté le rapport « &Բ;». Il a lancé un sérieux avertissement alors que la dette publique mondiale a atteint un niveau record de 92 000 milliards de dollars en 2022. Cette multiplication par cinq du niveau de la dette publique depuis 2000 exige une action immédiate pour lutter contre l'escalade des crises qui touchent en particulier les pays en développement. « En moyenne, les pays africains dépensent quatre fois plus pour leurs emprunts que les États-Unis et huit fois plus que les économies européennes les plus riches. Au total, 52 pays, soit près de 40 % du monde en développement, connaissent de graves problèmes d'endettement&Բ;».

La CNUCED a publié la cinquième édition de son SDG Pulse, une référence mondiale pour le suivi des progrès en vue de la réalisation des objectifs de développement durable d'ici à 2030.

La zone de libre-échange continentale africaine, opportunité de dynamiser le commerce intra-africain

La CNUCED aide les pays africains à faire face aux crises qui se chevauchent. La zone de libre-échange continentale africaine offre une opportunité de dynamiser le commerce intra-africain. Les pays africains doivent diversifier leurs exportations et renforcer leurs capacités productives, accélérer la croissance économique et répondre aux priorités nationales, et bâtir des économies plus résilientes tout en créant des emplois plus qualifiés.

La CNUCED a appelé à soutenir d'urgence les pays en développement afin de leur permettre d'attirer beaucoup plus d'investissements pour leur transition vers les énergies propres.

Après deux trimestres consécutifs de baisse, le commerce mondial de biens et services a rebondi entre janvier et mars 2023. Mais les perspectives pour le reste de l'année sont sombres.

La CNUCED vient de lancer une nouvelle version de son indice des capacités productives (ICP) afin d'aider les pays à établir des diagnostics et des mesures plus précis de leur performance économique. Alors que les grands indicateurs économiques tels que le PIB mesurent la production économique, l'ICP propose une nouvelle approche pour mesurer les progrès en matière de développement. L'indice mesure la capacité des pays à produire des biens et à fournir des services, ce qui est essentiel pour le commerce international et les chaînes de valeur de la production mondiale.

L’Angola dispose d'un vaste littoral, d'une main-d'œuvre abondante dans le secteur de la pêche et de bonnes relations commerciales avec les principaux importateurs de poisson d'Europe et d'Asie. La CNUCED aide ce pays à créer davantage d'emplois et d'opportunités commerciales, renforcer la sécurité alimentaire, améliorer les moyens de subsistance et réduire la pauvreté en exploitant davantage l'économie bleue, c'est-à-dire l'utilisation durable des ressources océaniques à des fins de croissance économique.

Les Nations Unies saluent la décision de prolonger l'Initiative, qui a permis le transport de plus de 30 millions de tonnes de denrées alimentaires, contribuant ainsi à faire baisser les prix et à stabiliser les marchés mondiaux.

Le rapport  de la , publié le 8 mai, dresse un état des lieux de l'économie océanique mondiale - d'une valeur estimée entre 3 et 6 000 milliards de dollars. Il analyse la façon dont l'activité humaine et les crises ont affecté les différents secteurs océaniques, comme la pêche, les produits de la mer, le transport maritime et le tourisme côtier.

La accueille la troisième édition du  les 8 et 9 mai 2023. Il se concentrera sur les politiques commerciales qui peuvent aider les pays à développer leur économie tout en s'attaquant aux défis mondiaux urgents et en accélérant les progrès vers la réalisation des objectifs de développement durable de l'ONU.

Dans sa dernière  publiée le 12 avril, la  avertit que les pays en développement sont confrontés à des années de difficultés alors que l'économie mondiale ralentit dans un contexte de turbulences financières accrues.