Du changement climatique à la perte de biodiversité, en passant par la crise mondiale de l’eau, les chocs sont de plus en plus nombreux qui entraînent une hausse de l’insécurité alimentaire, condamnant toujours plus de personnes à la faim. Selon les dernières projections disponibles, près de 670 millions de personnes dans le monde ne mangeront pas à leur faim en 2030. Face à ces défis, la Banque mondiale adopte une approche multidimensionnelle qui s’attache à soutenir la production et les producteurs, prêter main-forte aux ménages vulnérables avec des programmes destinés à apporter une aide d’urgence mais aussi à accroître la résilience, tout en investissant dans une alimentation et une nutrition durables.
Groupe de la Banque mondiale
Cultiver et améliorer la santé des sols pour nourrir l’humanité
Confrontés à la dégradation des terres et aux chocs climatiques, les agriculteurs togolais trouvent une lueur d'espoir grâce à l'arrivée de nouveaux stocks d'engrais. Ces derniers apportent des éléments nutritifs indispensables et revitalisent les sols épuisés par des décennies de culture.
Comment la République centrafricaine intensifie sa réponse à l’insécurité alimentaire
En République centrafricaine, on estime aujourd’hui que près d’une personne sur deux souffrent d'insécurité alimentaire aiguë.
Selon les dernières Perspectives économiques mondiales publiées par la Banque mondiale, la croissance a nettement ralenti et le risque de tensions financières dans les économies de marché émergentes et en développement s'intensifie dans un contexte de taux d'intérêt élevés.
Un nouveau rapport de la Banque mondiale suggère que les villes détiennent également l’une des clés de la résolution de la crise climatique sachant que, d’ici 2050, près de 70 % de la population mondiale vivra en zone urbaine. Le rapport passe en revue plus de 10 000 villes du monde pour mesurer à quel point elles sont vertes, résilientes et inclusives, tout en examinant les interactions entre les villes et le changement climatique. À partir de cette analyse, le rapport propose aux responsables politiques des pistes pour les aider à rendre les villes plus vertes, plus résilientes et plus inclusives, en d’autres termes à prospérer dans un climat changeant.
Partout dans le monde, les populations vieillissent à un rythme sans précédent, si bien que beaucoup de pays s’appuient de plus en plus sur la migration pour réaliser leur potentiel de croissance à long terme, constate un nouveau rapport de la Banque mondiale. Le considère cette tendance comme une occasion unique de faire en sorte que la migration bénéficie davantage aux économies et aux individus concernés.
La « vitesse limite » de l'économie mondiale, c'est-à-dire le taux de croissance maximal à long terme sans risque d’inflation, devrait tomber à son niveau le plus bas depuis trois décennies d'ici 2030.
La crise mondiale de l’eau menace aujourd’hui le développement. Le coût économique mondial de l’insécurité hydrique est estimé à près de 500 milliards de dollars par an. L’aggravation des sécheresses et des inondations due au changement climatique et à l’explosion démographique ne fait qu’exacerber le problème.
Solutions centrées sur les personnes à la dégradation des forêts en République démocratique du Congo
En République démocratique du Congo, la forêt est vaste mais menacée. Un reportage réalisé dans la province de Mai Ndombe met en évidence le lien entre les besoins quotidiens des gens en matière d'alimentation et d'énergie et la dégradation continue des forêts.
La a dépensé plus de 12 milliards de dollars, sur les 30 milliards de dollars engagés l'année dernière, dans des projets et des prêts de sécurité nutritionnelle, dont près de la moitié pour l'Afrique, l'une des régions les plus durement touchées par la crise alimentaire.
Le temps de classe perdu à cause de la pandémie est colossal. Au plus fort des fermetures d’écoles en avril 2020, plus de 1,6 milliard d’élèves dans 188 pays ont été privés de cours. À l’échelle mondiale, les établissements scolaires sont restés en moyenne fermés durant 141 jours de classe de février 2020 à février 2022. Une situation qui touche de manière disproportionnée les enfants les plus pauvres du monde, selon un de la .
La Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de noix cajou
Premier producteur mondial de cacao et de noix de cajou, la Côte d’Ivoire enregistre l’un des taux de croissance économique les plus rapides et soutenus en Afrique subsaharienne depuis près de dix ans.
Afin de combattre les crises multiples et contribuer à une reprise plus stable et équitable, la a travaillé sans relâche avec ses partenaires tout au long de cette année pour transformer les contributions de ses actionnaires et ses capitaux en un soutien accru aux pays et répondre ainsi à leurs besoins les plus importants. Voici un aperçu de son action en neuf graphiques.
La biodiversité est la richesse de notre planète. C'est une pierre angulaire du développement, et sa perte menace de nombreux gains de développement durement acquis. Le de la fournit des outils et une expertise aux gouvernements et au secteur financier lorsqu'ils intègrent les considérations environnementales et de développement durable dans les décisions publiques et privées.
La Côte d’Ivoire, premier producteur mondial de noix cajou
La Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de noix cajou. Un projet de chaîne de valeur de la noix de cajou à Yamoussoukro permet l’ouverture de nouveaux marchés aux petits exploitants, ainsi que la création d'emplois, notamment pour les femmes.