Publié par la Banque mondiale, cet propose une mise en récit interactive et graphique pour explorer les enjeux des objectifs de développement durable (ODD).
Groupe de la Banque mondiale
Après 25 ans de recul régulier, l'extrême pauvreté est repartie à la hausse. Ce bond en arrière est principalement imputable aux défis majeurs auxquels sont confrontés tous les pays, mais en particulier ceux qui comptent de nombreux pauvres. La pandémie de COVID-19, les conflits et le changement climatique. L'extrême pauvreté devrait enregistrer, entre 2019 et 2020, une hausse sans précédent depuis que la a entrepris d’assurer un suivi systématique de la pauvreté dans le monde. L'édition 2020 du apporte un nouvel éclairage aux menaces qui pèsent sur la réduction de la pauvreté.
Alors que la pandémie de COVID-19 et la crise économique continuent de s’étendre, les envois de fonds des travailleurs migrants vers leurs pays d’origine devraient reculer de 14 % d’ici à 2021 par rapport aux niveaux d’avant la pandémie en 2019, selon les dernières estimations de la note d’information de la Banque mondiale sur les migrations et le développement.
Pendant près de 25 ans, l'extrême pauvreté n'a cessé de reculer. Or, aujourd’hui, pour la première fois en une génération, la lutte contre la pauvreté enregistre sa pire régression. Ce bond en arrière est principalement imputable aux défis majeurs auxquels sont confrontés tous les pays, mais en particulier ceux qui comptent de nombreux pauvres : la pandémie de COVID-19, les conflits et le changement climatique, souligne la Banque mondiale.
La lutte contre la pauvreté enregistre sa pire régression en 25 ans
L'année 2020 représente un défi sans précédent pour la lutte contre la pauvreté. La pandémie de COVID-19, les conflits armés et le changement climatique menacent d'accroître l'extrême pauvreté dans le monde pour la première fois depuis 1998.
Kaffia fait partie d’une famille d’éleveurs transhumants comme la plupart des quelque 800 000 éleveurs au Sénégal et des millions d’autres dans le reste du Sahel. 75 % du territoire sahélien étant trop aride pour permettre aux éleveurs d’être sédentaires, ils s’adaptent, en déplaçant leurs troupeaux au gré de la disponibilité en eau et en pâturages. Ici, le changement climatique n’est pas une opinion, c’est une réalité. Les saisons des pluies se raccourcissent et les saisons sèches s’éternisent. L’action de la Banque mondiale au Sahel répond à une double aspiration : mobiliser des ressources financières pour préserver un écosystème fragile et améliorer les conditions de vie des populations.
Dans le sillage de l’adoption de l'Accord de Paris sur le climat, le Groupe de la Banque mondiale a présenté en 2016 un ambitieux afin d'intensifier le soutien financier et technique aux pays en développement et, ainsi, renforcer leur action pour le climat. L'institution internationale s'était notamment engagée à porter ses financements climatiques à hauteur de 28 % de ses prêts d'ici à 2020, contre 20 % en 2016. En cinq ans, le Groupe de la Banque mondiale a consacré plus de 83 milliards de dollars de financements à la lutte contre le changement climatique.
L'une des images les plus frappantes de la pandémie de coronavirus (COVID-19), c'est le contraste entre des agriculteurs contraints de jeter les stocks de lait, d’œufs et de légumes qu’ils n’arrivent plus à écouler, et des consommateurs qui ne trouvent que des rayons vides, après avoir longtemps fait la queue devant les magasins d'alimentation. Comment expliquer une surabondance de produits agroalimentaires d'un côté et des pénuries de l'autre ? La Banque mondiale vous l'explique.
Les eaux souterraines, une source d'espoir en Zambie
Les eaux souterraines constituent une source essentielle d’approvisionnement en eau pour permettre de répondre à la demande croissante causée par les longues périodes de sècheresse dont a souffert la Zambie.
Les données actualisées relatives à la classification des pays en fonction de leur revenu . La Banque mondiale répartit les économies du monde en quatre groupes : faible revenu, revenu intermédiaire de la tranche inférieure, revenu intermédiaire de la tranche supérieure et revenu élevé. Cette classification est actualisée chaque année le 1er juillet.
Un Plan pour le capital humain en Afrique
Le plan pour le capital humain en Afrique, lancé par la Banque mondiale en 2019, a comme objectif de permettre au continent africain de réaliser son plein potentiel par le biais de son capital humain. Découvrez comment !
Sierra Leone : sortir de la pauvreté
Le développement du capital humain est indispensable à une croissance économique sans exclus et au bien-être des populations, et c’est un facteur essentiel de la transformation des économies africaines.
RDC : l'école gratuite à tout prix !
Victorine Tshibola rêve de voir ses enfants réussir leur vie. Kandindi Kengela et Joyce Sosongo aspirent à un avenir meilleur. Augustin Tshiko voudrait que toutes les filles congolaises puissent prendre le chemin de l’école.
Café et biodiversité : le mariage parfait
La région de Kafa, en Éthiopie, est le berceau des caféiers sauvages arabica.
Sur les pas de deux agriculteurs en Éthiopie
Prendre soin des terres agricoles renforce les communautés et la biodiversité : c’est cette expérience que nous font partager un agriculteur et une agricultrice en Éthiopie.