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Article 1.1(f)

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Le TANU a noté que lorsque l'agent avait déménagé en Caroline du Nord, il n'avait pas cherché à savoir s'il était ou non tenu de payer l'impôt sur le revenu de cet État. Néanmoins, le TANU a conclu que le Secrétaire général avait commis une erreur en appliquant un délai d'un an à sa demande de remboursement de l'impôt sur le revenu de l'État de Caroline du Nord pour la période 2015-2018.
Le TANU a examiné le libellé des dispositions pertinentes du Statut et du Règlement du personnel, la doctrine interprétative, le régime juridique des contributions du personnel, la hiérarchie des normes...

Unat a rejeté la demande de l'appelant pour une audience orale au motif qu'elle ne serait ni nécessaire ni utile car les faits pertinents étaient clairs, le témoin a déjà été entendu par undt (par conférence audio) tel que vérifié par unat, le contexte inhabituel de l'affaire a été insuffisant pour indiquer que tout fait ou problème pourrait être affiné par des témoignages spécifiques et cela n'aiderait pas à unis à l'élimination rapide et équitable de l'affaire. Sur la requête de l'appelant pour des audiences supplémentaires, Unat a jugé que les documents contenaient des arguments déjà soumis...

Unat a jugé que, en répondant aux demandes de renonciation à l'immunité d'un fonctionnaire, l'organisation doit se conformer à ses obligations légales envers l'État membre de demande en vertu des instruments internationaux concernés, qui limitent l'immunité aux actes officiels et obligent le Secrétaire général à coopérer à la À tout moment avec les autorités appropriées pour faciliter la bonne administration de la justice et pour prévenir la survenue de tout abus en relation avec les privilèges et les immunités. Unat a noté que le Secrétaire général est le mieux placé pour apprécier la nature...

Unat a jugé que l’UNDT conclut que le défi à la décision du Secrétaire général de ne pas renoncer à l’immunité de M. Dolgopolov n’était pas à recevoir au motif qu’il s’agissait d’une décision exécutive / politique est incorrecte. Unat a toutefois détenu que UNT avait raison de trouver les demandes de M. Dolgopolov non à recevoir, mais pour d'autres raisons. Unat a jugé que les demandes de M. Dolgopolov n'étaient pas à recevoir, car il n'a pas renvoyé la décision contestée concernant sa demande de poursuivre l'ambassadeur ukrainien à l'évaluation de la direction, et la décision concernant les...

UNDT/2010/214, Kamunyi

je. Que la suspension du demandeur du 26 mai 2006 soit légale: le tribunal a constaté que le chef de la sécurité / unon unon unilatéralement et verbalement suspendu le demandeur en violation des règles du personnel à ce moment-là. Il a été noté qu'une telle décision ne pouvait être prise que par le secrétaire général adjoint, Office of Human Resources Management (ASG / OHRM) qui était l'individu correctement délégué. De plus, le demandeur n'a pas reçu de raisons de sa suspension et la suspension n'a pas été effectuée conjointement avec une accusation de faute. ii Si le demandeur a été...

Les requérants soutiennent que les faits n'ont pas été établis et que leurs actions ne constituaient pas une faute, car ils agissaient en légitime défense ou en défense de quelqu'un d'autre. Le Tribunal a noté que des preuves vidéo, c'est-à-dire des images de caméras de sécurité de l'hôtel, constituaient la seule preuve fiable pour établir les faits en l'espèce et conclut que les requérants, qui étaient en mission officielle au moment du matériel, ont lancé le différend et l'altercation physique et n'a pas agi en légitime défense lorsqu'ils ont agressé un gardien de sécurité. En conséquence, l...

Le requérant avait fait valoir que la réprimande écrite était une mesure disciplinaire voilée et en tant que telle, il n'était pas nécessaire de demander une évaluation de la direction. Le tribunal n'est pas d'accord car il est pour le tribunal de déterminer si la sanction était ou non une mesure disciplinaire voilée. Compte tenu de la précédente, le tribunal constate et soutient que les réclamations du demandeur contestant l'action de gestion d'une réprimande écrite ne sont pas à recevoir car ils n'ont jamais été soumis à une évaluation de la direction, comme l'exige le TAR. 8 (1) (c) du...

La compétence juridictionnelle de l’organisation ne s’étend pas à l’agression physique d’un membre du personnel non Ãå±±½ûµØpar un membre du personnel. C'est dans la province de l'intimé ou de ses agents en l'espèce pour enquêter sur les événements menant à l'agression physique de Mme Oduke. Ayant établi que Mme Oduke avait été agressée physiquement, l'action appropriée pour l'administration aurait été pour Mme Oduke, en tant que membre non-personnel, pour être informé ou même aidé à porter plainte contre le demandeur d'agression approprié Cour local. Les conclusions du tribunal local auraient...

Toutes les questions non résolues, les faits établis et le défaut du demandeur à apporter des preuves afin de convaincre le tribunal du prétendu régime d'extorsion contre lui soutiennent une conclusion que le demandeur avait probablement adopté une relation sexuelle avec V01, une mineure. Compte tenu de toutes les circonstances environnantes de l'accusation, des enquêtes et de ses propres actions et explications, le demandeur n'a pas suffisamment rejeté le fardeau sur lui. Le libellé aux paragraphes 3.2 (a) et (b) de ST / SGB / 2003/13 est clair. L'exploitation sexuelle et les abus sexuels...

Le Tribunal a constaté que: 1) la DG a échoué dans son obligation légale de réexaminer et de nommer rapidement un jury d'enquête sur la plainte du demandeur de conduite interdite et que le retard a été illégal et a entraîné de graves conséquences pour le demandeur. 2) L'instigation par DSS ONÃå±±½ûµØde la détention et de la charge du demandeur par la police du Kenya sans renonciation à l'immunité par le secrétaire général était illégal. 3) DSS ONÃå±±½ûµØa agi secrètement à l'insu du directeur général ou du siège des Nations Unies dans ses relations avec la police du Kenya le 21 août. Cela a empêché les...