Unat a considéré l'appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT a conclu correctement que l'administration exerçait correctement son pouvoir discrétionnaire pour placer le demandeur en congé administratif, en considérant un risque de réputation durable à la lumière des allégations relatives à l'abus sexuel et à l'exploitation d'une fille sous-âge, qui étaient raisonnablement soutenues par la preuve. Unat a jugé que la nouvelle règle du personnel 10. 4 (c), qui n'avait pas encore été promulguée à l'heure pertinente, n'était pas applicable à l'inconduite du demandeur. Unat a estimé que les...