Unat a affirmé que les circonstances de l'allégation de conduite insatisfaisante dans la présente affaire ont créé l'obligation d'initier une enquête préliminaire. Cependant, UNAT a noté que UNDT avait commis une erreur en accordant des dommages-intérêts à M. Abboud tout en constatant qu'il n'avait subi aucune perte économique et qu'aucun dommage réel n'existait. Unat a annulé le jugement de l'UNT dans la mesure où il a accordé des dommages-intérêts à M. Abboud.
Compensation
Unat a considéré un appel du Secrétaire général limité à la question de l'indemnisation. Sur la question de l'appel du Secrétaire général étant dérangé, tel que soulevé par M. Kasyanov, Unat a jugé que le jugement de l'UNT sur les mérites pour l'affaire n'était pas un jugement définitif; Bien qu'il ait fait des résultats substantiels, il a laissé la question du recours à résoudre à l'avenir. Unat a jugé que le jugement de l'UND sur le fond ne devient définitif que lorsque UNDT a rendu le jugement sur l'indemnisation. Unat a jugé que, lorsque le jugement sur le fond était en appel, une partie...
Le secrétaire général a affirmé que UNT n'avait aucun pouvoir d'accorder de l'intérêt. Unat a constaté que l'UNDT et l'UNAT ont le pouvoir d'accorder l'intérêt dans le cours normal de la compensation de commande. Le but même de la rémunération est de placer le membre du personnel dans le même poste dans lequel il aurait été si l'organisation avait respecté ses obligations légales. Dans de nombreux cas, les intérêts feront par définition partie de la rémunération. Dire que les tribunaux n'ont aucune compétence pour commander le paiement d'intérêts, dans de nombreux cas, signifieraient que le...
UNAT a considéré un appel centré sur la question de savoir si l'appelant devrait recevoir une rémunération accrue du salaire de base net de trois mois. Unat a jugé que UNDT n'avait pas commis d'erreur réversible en refusant d'accorder une compensation pour la souffrance morale. Unat a jugé que l'affaire se distinguait de Mebtouche (UNDT / 2009/039), où le demandeur, M. Mebtouche, avait déjà pris sa retraite et n'avait aucune chance d'être promu, donc une rémunération accrue était justifiée. Unat a jugé qu'une rémunération accrue ne pouvait pas être attribuée à l'appelant. UNAT a rejeté l'appel...
Unat a jugé que l'appel n'avait pas été déposé intempestif et était donc à recevoir. Unat a jugé que, quelle que soit la gravité de l'irrégularité commise par l'administration et le nombre de points obtenus par le demandeur lors de la session de promotion de 2007, UNDT n'a pas commis d'erreur en prévoyant que le haut-commissaire pourrait décider de verser une compensation plutôt que d'exécuter le ordonnance d'annulation. Unat a soutenu que UNDT, en fixant le montant de l'indemnisation à 8 000 francs suisses, n'a pas fait une erreur manifeste. Unat a détenu, concernant la conclusion selon...
Inatterre préliminairement que l'appelant n'avait identifié aucune situation exceptionnelle justifiant la nécessité de déposer des observations en réponse à la réponse du secrétaire général. Unat a estimé que les observations ne seraient pas prises en considération. Unat a soutenu que UNDT avait correctement observé qu'il n'était pas en mesure de se substituer à l'administration ou de déclarer que l'appelant aurait dû être promu au niveau P-5. En ce qui concerne l’affirmation de l’appelant concernant le quantum de rémunération, Unat a jugé que UNDT était dans la meilleure position pour décider...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé qu'il n'y avait aucune raison de réexaminer les jugements de l'ancien tribunal administratif dans le jugement n ° 1047, Helke (2002) et le jugement n ° 1122, Lopes Braga (2003). Unat a jugé que l'attribution de la rémunération pour dommages non pécuniaires ne constituait pas une attribution de dommages-intérêts punitifs ou exemplaires conçus pour punir l'organisation et dissuader les actes répréhensibles futurs. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé pour constater que le membre du personnel a subi un stress en fonction de sa...
Inatterre préliminairement la demande de l’appelant d’une audience orale par téléconférence, notant que son mémoire d’appel était suffisant et n’avait pas nécessité de clarification supplémentaire. Unat a jugé que l'affirmation de l'appelant selon laquelle UNDT n'avait pas examiné ses arguments concernant l'ancien service sur un poste «spécialisé» était sans fondement, notant que cette question était examinée par UNDT. Unat a noté que ni undn ni unat n'ont le pouvoir de modifier un règlement ou une règle de l'organisation, afin d'appliquer la considération «cas par cas» aux membres du...
Inatterre préliminairement que l'appel était à recevoir, car il a été déposé dans le délai accordé pour le dépôt. En ce qui concerne la question de la résiliation de l’appelant, Unat a jugé que la décision de l’UNRWA JAB était légale, rationnelle et procédurale. Unat a soutenu qu'il s'agissait d'un cas exceptionnel où la doctrine de la proportionnalité devrait être invoquée. Unat a jugé que la décision de résilier les services de l’appelant était disproportionnée, plus drastique que nécessaire. Unat a noté que les changements dans les dossiers qui ont été apportés par l'appelante ont montré qu...
En examinant l’appel de l’appelant, Unat a constaté que la décision de résilier la position de l’appelant était basée sur des raisons généralisées, par opposition à des faits spécifiques, et n’a trouvé aucune justification réelle de la décision. Unat a soutenu que cela n'était pas cohérent avec la jurisprudence de l'ancien tribunal administratif, qui prévoit qu'une administration doit agir de bonne foi et ne pas prendre de décisions basées sur une motivation erronée, fallacieuse ou inappropriée. UNAT a noté que lorsqu'une décision administrative concerne la résiliation, elle doit fixer un...