Unat a jugé que le délai de 60 jours pour qu'un appelant demande l'évaluation de la gestion de la décision contestée commençait à se dérouler à partir de la date de notification de la décision administrative et a expiré le 18 août 2014. UNAT a souligné que l'appelant avait soumis sa demande de gestion Évaluation six mois après l'expiration du délai. Unat a soutenu que UNDT avait raison de constater que la demande de l'appelant n'était pas à recevoir. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Contrôle hérarchique
Unat a rejeté la demande d'audience orale constatant qu'il n'y avait pas besoin de clarification supplémentaire. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas basé son appel à aucun motif d'appel conformément aux personnes établies dans le statut de l'UNAT. Unat était d'accord avec les conclusions de l'UNRWA DT sur la soumission prématurée pour examen de la prétendue décision administrative approuvant un nouveau workflow, la non-réévabilité de la contestation contre la directive au personnel du Département des finances de ne pas prendre les instructions de l'appelante, ainsi que comme la nature...
Unat a soutenu que l'UNDT a correctement rejeté les revendications de l'appelant concernant le non-renouvellement de sa nomination et sa réaffectation comme non à recevoir car ils étaient barrés. Lors de l'annulation de son congé administratif, Unat a jugé que Undt a constaté correctement qu'il n'y avait pas de décision défavorable affectant ses conditions d'emploi. Unat a jugé que la décision de mettre fin à l'autorisation administrative et de ne pas poursuivre des mesures disciplinaires n'était pas une décision administrative en ce qu'elle n'avait pas de conséquences juridiques ou d'impact...
Unat a jugé que l'appel était défectueux en ce qu'elle n'a pas invoqué la compétence de l'UNAT en vertu de l'article 2, paragraphe 1, de la loi de l'UNAT en n'appartenant pas que l'UNTT avait dépassé sa compétence ou sa compétence, n'a pas exercé sa juridiction, a commis une question sur une question du droit, a commis une erreur de procédure, comme pour affecter la décision de l'affaire, ou a commis une question de fait, ce qui a entraîné une décision manifestement déraisonnable. Unat a jugé que l'appelant n'a pas non plus respecté les exigences de l'article 8, paragraphe 2, de l'UNAT ROP en...
UNAT a refusé la requête de l'appelant pour des plaidoiries supplémentaires sur la base que des circonstances exceptionnelles n'ont pas été démontrées. Unat a jugé que, contrairement au raisonnement de l'appelant, les panneaux de recherche de faits ne figurent pas dans la catégorie des organismes techniques en vertu de la règle 11. 2 (b), et le Secrétaire général n'a pas désigné les panneaux de recherche d'information établis sous ST / SGB / 2008/5 comme organes techniques. Unis a confirmé la conclusion du UNT que la demande d’évaluation de la gestion était une première étape obligatoire du...
Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur de droit. Unat a jugé que le dossier ne soutenait pas la conclusion selon laquelle l'appelant avait été informée aux fins de la règle 11.2 (c) du personnel lors de ses réunions de juin 2014 (ou de toute autre) pour l'effet de déclencher les délais qui s'y trouvent pour sa demande de gestion évaluation. Unat a noté que les procès-verbaux vers lesquels UNT basaient sa constatation n'étaient pas signés, non datés et non partagés avec l'appelant à l'époque. UNAT a noté que les réunions de juin 2014 n'avaient pas le but de notification de la décision...
Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé sur une question de droit ou de fait et avait identifié la décision administrative pertinente de déclencher les délais d'une demande d'évaluation de la gestion. UNAT a détenu qu'il n'y avait pas de différence juridique entre une mission et une réaffectation. Unat a jugé que l'argument de l'appelant selon lequel deux décisions administratives différentes lui avaient été informées était sans fondement. Unat a jugé que l'argument de l'appelant selon lequel une communication des droits et des avantages ne peut constituer une notification de la décision...
UNAT a considéré la requête de l'appelant en autorisation de déposer des actes de procédure supplémentaires et l'appel. UNAT a noté que ni la loi UNAT ni l'UNAT ROP ne permettent à un appelant de déposer un plaidoyer supplémentaire après que l'intimé a déposé une réponse. UNAT a également noté que l'article 31 (1) de la ROP et de la section II. A. 3 de l'orientation de la pratique n ° 1 du tribunal d'appel autorise le tribunal d'appel d'accorder la requête d'une partie pour déposer des plaidoiries supplémentaires que s'il y a des circonstances exceptionnelles justifiant la requête. Unat a jugé...
UNAT a considéré la réalisation de la question de la non-renouvellement et si undt a commis une erreur en rejetant la réclamation de l'appelant selon laquelle sa candidature pour le poste pertinent n'avait pas été pleinement considérée. Règle 11. 2 (a) du personnel référencé non référencé, qui prévoit qu'il s'agit d'un principe établi qu'une demande d'évaluation de la gestion est la première étape du processus d'appel d'une décision administrative. Unat a en outre noté que UNT a le pouvoir inhérent d'individualiser et de définir la décision administrative contestée par une partie et d...
Unat a jugé que la demande d'évaluation de la gestion était une première étape obligatoire. UNAT a constaté que les formulaires d'action du personnel ne pouvaient pas être interprétés comme informant adéquatement l'appelant de la décision administrative pertinente de traiter sa retraite et sa séparation du service. Unat a jugé que le mémorandum qui donnait des instructions relatives à la séparation de l'appelant du service et du rapatriement à son pays d'origine a déclenché le délai de recherche d'évaluation de la direction. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas demandé d'évaluation de la...