UNAT a considéré l'appel de l'appelant, demandant que le jugement de l'UNRWA soit annulé. Unat a convenu avec Unrwa DT et a confirmé ses conclusions selon lesquelles l'agence avait droit, en vertu des dispositions du paragraphe 2 de FTI 01/2016, de remplir le poste concerné au moyen d'un transfert latéral des membres actuels du personnel. UNAT a également convenu et a confirmé la décision qu'il n'était pas dans le cadre de l'UNRWA DT de se prononcer sur l'exercice de la discrétion de l'agence pour décider des transferts latéraux à moins qu'il n'y ait des preuves que le pouvoir discrétionnaire...
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UNAT a considéré l'appel des demandes consolidées. En ce qui concerne le premier numéro, Unat n'a trouvé aucune erreur dans la conclusion de l'UNRWA DT selon laquelle l'appelant n'avait pas établi que la décision de ne pas confirmer sa nomination en tant que conseiller TDSE et de le transférer à son précédent post était illégal. Unat a noté qu'il n'y avait aucun mérite dans l'affirmation de l'appelant selon laquelle l'UNRWA DT n'a pas examiné les faits pertinents et appliquer des dispositions légales et réglementaires à ses évaluations de performance pendant sa période probatoire. UNDT a...
Unat a considéré un appel du jugement n ° UNRWA / DT / 2019/070 par le commissaire général de l'UNRWA. Unat a jugé que l'UNRWA DT n'avait commis aucune erreur lorsqu'il a conclu que l'UNRWA n'avait pas examiné les raisons personnelles et humanitaires du demandeur dans la décision contestée. Unat a jugé que l’UNRWA DT a conclu correctement que les questions pertinentes (raisons personnelles et humanitaires) avaient été ignorées dans l’exercice de la discrétion du commissaire général. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.
Unat a fait plusieurs conclusions sur l'appel. Premièrement, Unat a jugé que UNT ne s'est pas trompé lorsqu'il ne détenait pas de gestion de cas ou d'audience de fond sur les questions. Unat a convenu que le juge de première instance est dans la meilleure position pour décider de ce qui convient à l'élimination équitable et rapide d'une affaire et pour rendre justice aux parties. Deuxièmement, Unat a convenu avec l'UNDT que l'action administrative n'était pas une sanction disciplinaire déguisée. Unat a également constaté que l'USG avait le pouvoir de transférer l'appelant dans une autre unité...
Unat a d'abord convenu avec l'UNDT que l'abolition du poste n'était pas une décision administrative révisable. Deuxièmement, UNAT a jugé qu'il n'y avait aucune preuve de motifs inappropriés concernant la non-renouvellement de la nomination du membre du personnel. La principale affirmation du membre du personnel en appel était que son poste aurait dû être soumis à un processus d'examen comparatif (CRP) au lieu d'être identifié comme une «coupe à sec». Une «coupe sèche» se produit lorsqu'un post est unique et peut donc être aboli sans un examen comparatif. Le membre du personnel affirme que son...
UNAT a d'abord rejeté l'appel d'appel, concluant que bien que l'administration ait le pouvoir discrétionnaire de réaffecter les membres du personnel, une telle réaffectation doit être raisonnable dans les circonstances particulières et ne causer aucun préjudice économique au membre du personnel. Il doit également respecter les règles de droit procédurales et substantielles et ne doit pas être arbitraire. Unat a convenu avec l'UNDT que la réaffectation était liée aux performances et pourtant le membre du personnel n'a jamais été autorisé à résoudre ses problèmes de performance avant d'être...
Unat a accepté et a constaté que les preuves sur le dossier soutiennent la conclusion de l'UNDE que l'action administrative était légale et rationnelle pour faire avancer les besoins opérationnels de l'organisation. Deuxièmement, Unat n'a également trouvé aucune erreur dans la conclusion de l'UND que la décision administrative n'a pas été entachée par des motifs inappropriés et que le membre du personnel n'avait pas rempli sa charge de preuve de prouver le contraire. Enfin, Unat n'a trouvé aucune erreur dans la conclusion UNDT que le trajet supplémentaire de 17 km n'était pas trop onéreux...
À partir du moment où le nouveau secrétaire exécutif a remporté ses fonctions à ESCWA, le secrétaire exécutif adjoint n'était plus compétent pour décider, le 8 août 2007, pour réaffecter le demandeur. En effet, il n'y a aucune preuve documentaire qu'il avait reçu la délégation de l'autorité du secrétaire exécutif pour prendre la décision contestée, ce qui est donc illégal. Cependant, le 16 août 2007, le secrétaire exécutif a confirmé la décision prise le 8 août 2007 par son adjoint. Cette nouvelle décision est légale, mais elle n'a pas pour effet de régulariser l'ex post facto la décision du 8...
Le tribunal a examiné si la demande contenait une décision administrative relevant de la compétence de l'article 2.1 (a) de la loi UNDT. Le tribunal a estimé que la décision prise par l'administration de nommer un DCPM par intérim AD et de réaffecter les responsabilités et les fonctions conformément à cette nomination était une décision administrative. Néanmoins, aux fins de l'article 2.1 (a) de la loi UNDT, le Tribunal a déclaré qu'il ne suffisait pas au demandeur d'établir simplement qu'une décision administrative avait été prise dans le contexte global de la position qu'elle occupe ou...
Réaffectations: Le règlement du personnel 1.2 accorde un large pouvoir discrétionnaire au Secrétaire général dans la prise de décisions de réaffectation. Cependant, un tel pouvoir discrétionnaire n'est pas sans entraves: il est soumis à un respect pour une procédure régulière et à l'absence de biais, de discrimination, d'arbitraire ou d'autres motivations étrangères. Alors que la section 2.4 ST / AI / 2006 / 3.Rev.1 envisage uniquement les transferts latéraux à des postes vacants, il n'empêche pas d'autres types de transfert à légalement fabriquer. La décision contestée dans la présente...