UNAT a considéré un appel du commissaire général et un appel à l'appel de Mme Kaddoura. Unat a confirmé le jugement de l'UNRWA DT en partie. Il n'a fait que référence à l'ancien commissaire général de responsabilité, concluant qu'il n'était pas suffisant pour compter sur le ouï-dire pour référer un ancien membre du personnel, que ce soit l'ancien commissaire général ou toute autre, à la responsabilité. Unat a en outre soutenu qu'il n'y avait aucune possibilité d'imposer une mesure disciplinaire à un ancien membre du personnel, et à ce titre, une telle référence serait inefficace.
Faits (établissement des) / preuves
Unat a convenu avec l'UNRWA DT que la décision contestée était un exercice légal du pouvoir discrétionnaire. En ce qui concerne l'affirmation de l'appelant selon laquelle le processus a été entaché en raison du délai de temps depuis que la plainte de comportement s'est produite (dix ans) et en raison de la nature du ouï-dire des preuves, Unat a expliqué que ces mêmes arguments ont été avancées à la fois au DT et au DT et au Administration pendant la phase d'enquête. Le tribunal a convenu avec l'UNRWA DT qu'il y avait suffisamment de preuves corroborantes pour soutenir les allégations. Le...
Unat a considéré un appel de Mme Modey-Ebi. UNAT a noté que les questions de l'appel étaient entièrement factuelles, dont la plupart ont été résolues dans le dossier de preuve qui, à la plupart, a établi un modèle d'inconduite justifiant le licenciement. Unat a noté que si certaines des allégations prouvées contre Mme Modey-Ebi étaient moins graves que d'autres, cumulativement, ils ont révélé un schéma de conduite contraire à l'éthique indiquant que Mme Modey-Ebi n'était pas adaptée au poste supérieur qu'elle occupait. Son comportement a révélé un manque de convenance et d'intégrité et son...
Le membre du personnel a fait appel à Unat Discusaning, entre autres, il n'y avait aucune preuve claire et convaincante dans le dossier montrant qu'il était conscient qu'il faisait l'objet d'une enquête au moment où il a postulé au poste de l'UNICEF. L'UNAT a déterminé que la lettre du conseiller juridique de l'OIM (un représentant autorisé d'une agence au sein du système des Nations Unies) a joui du statut de «loi officielle» et, en tant que tel, «la présomption de régularité». Le tribunal a constaté qu'une fois ces preuves produites, il incombait au membre du personnel de le réfuter, ce qu...
L'UNDT a jugé préliminairement que seuls les faits se produisaient du début de 2005 au 7 novembre 2007 devaient être pris en considération en ce qui concerne les allégations de harcèlement accordées par le demandeur. Par conséquent, les actions et décisions rapportées datant de 2004, en particulier la non-promotion du demandeur en 2004, ont été exclues du jugement actuel. En ce qui concerne le reste de la demande, UNDT a jugé que le demandeur n'avait pas fourni de preuves suffisantes pour étayer ses allégations selon lesquelles il avait été victime de harcèlement par l'organisation et que les...
Résultat: Le demandeur n'a pas le droit de faire supprimer la note simplement parce qu'aucune procédure disciplinaire n'a été entreprise en ce qui concerne le rapport d'enquête. Cependant, la note dans sa forme actuelle est inexacte et doit être supprimée. Son remplacement, le cas échéant, doit être exact et illustré au demandeur, qui doit recevoir une copie du rapport d'enquête pour lui permettre de placer ce commentaire sur le dossier comme il le souhaite, à condition qu'il soit raisonnablement lié à l'enquête.
COMMANDE: Une rétrogradation n'est pas une mesure disciplinaire purement financière, contrairement à une amende ou à une perte d'étapes. Il porte également une stigmatisation et une perte de responsabilités. Discrétion du secrétaire général en matière disciplinaire: une déférence due doit être démontrée au choix du Secrétaire général de la mesure disciplinaire appropriée. Création des accusations: Si la mesure disciplinaire est justifiée en ce qui concerne les faits établis par rapport à une certaine accusation, il n'est pas nécessaire de déterminer si des accusations supplémentaires sont...
UNDT a jugé que la contestation du demandeur à l'expiration / résiliation de son contrat avait été déposée hors du temps et, par conséquent, pas à recevoir. Il n'y avait aucune preuve avant UNT pour montrer qu'une enquête disciplinaire a été menée contre le demandeur. UNDT a jugé que si une telle enquête avait lieu, il n'y avait aucune preuve qu'elle avait été conclue, et aucune preuve qu'une mesure disciplinaire officielle a été imposée contre le demandeur en conséquence. UNDT a également jugé que le demandeur n'avait pas fait une demande en temps opportun d'évaluation de la gestion à l'égard...
UNDT a noté que la notification du secrétaire général adjoint du Bureau de la gestion des ressources humaines, dans un cas où le pouvoir d'émettre une réprimande a été délégué, n'est pas requis. Même si c'était le cas, son omission n'aurait pas pu avoir eu d'impact sur la validité de la décision contestée. Le requérant n'avait pas été correctement dispensé à commenter les faits et les circonstances avant la publication d'une réprimande écrite ou orale, donc son droit de répondre incarné par la règle 10.2 (c) n'a donc pas été observé. Les faits pertinents pour la décision n'ont pas été établis...
Les faits établis considérés dans leur intégralité équivalent à une faute sous forme de harcèlement sexuel. Le harcèlement sexuel peut se manifester sous différentes formes, sa détermination est spécifique à des faits et son occurrence ne se limite pas aux lieux de travail pendant les heures de travail. La conduite du demandeur équivaut au harcèlement sexuel en violation de la règle 1.2 (f) du personnel. Une lecture claire des messages Facebook du demandeur montre leur nature sexuelle. De plus, selon le Tribunal, le demandeur a été avisé que ses avancées sexuelles n'étaient pas les bienvenues...