Unat a jugé que les plaintes contre l'appelant étaient très graves et intolérables pour tout employeur. Unat a jugé que UNDT avait conclu correctement que l'affaire contre l'appelant était justifiée et corroborée et que les preuves ont suffisamment étayé l'accusation de sollicitation et de réception de l'argent de la population locale en échange de leur recrutement et de leur service en tant que personnel de l'ONU. Unat a jugé que lors de la téléconférence, l'appelant avait produit deux imposteurs comme témoins, qui ont déclaré avoir menti aux enquêteurs et fait de fausses allégations contre l...
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Unat a considéré un appel du Secrétaire général contre le jugement sur le fond (UNDT / 2011/054) et deux autres appels du Secrétaire général et du demandeur de jugement sur la rémunération (UNDT / 2011/131). S'appuyant sur sa précédente participation à Bertucci (2011 / UNAT / 114), Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en concluant que l'administration avait violé les droits de la procédure régulière du demandeur, car aucun préjudice réel n'a été trouvé. Unat a soutenu que les faits établis, tels qu'admis par le requérant, ont clairement démontré qu'il s'était engagé dans le harcèlement...
UNAT a considéré un appel, dans lequel l'appelant a affirmé que les erreurs procédurales ont commis une intervention de procédure pour permettre au Secrétaire général de se lancer dans une enquête de non-novo et que la mesure disciplinaire de la séparation était disproportionnée. Unat a jugé que c'était dans la compétence de l'UNDT pour tenir des audiences orales ainsi que pour ordonner la production de preuves d'une élimination équitable et rapide de la procédure. Unat a jugé que l'administration supporte le fardeau de l'établissement que l'inconduite présumée, pour laquelle une mesure...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que dans un tel cas, où les faits importants n'étaient pas contestés, aucune enquête supplémentaire n'était requise pour établir l'inconduite. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur de droit en concluant que le processus d'enquête et disciplinaire n'avait pas été correctement mené et que les droits de la procédure régulière de M. Ainte avaient été violés par l'absence d'une enquête officielle. Unat a jugé que M. Ainte n'avait pas démontré que le secrétaire général avait échoué d'une autre manière pour observer ses droits à une...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a soutenu qu'il ne pouvait pas soutenir la conclusion de l'UNDT que les actions de M. Koutang ne constituaient pas une faute. Unat a jugé que la sanction imposée n'était pas déraisonnable, absurde ou disproportionnée et, en tant que tel, UNAT a jugé qu'il s'agissait d'un exercice raisonnable de la grande discrétion de l'administration en matière disciplinaire. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en constatant que la sanction est disproportionnée et en substituant son opinion à celle de l'administration. UNAT a autorisé l'appel et...
Sur la question de savoir si elle avait été établie par des preuves claires et convaincantes que l’appelant avait la possession de la possession et a échangé, Tramal, unat était d'accord avec les déterminations, l'analyse et les conclusions de la crédibilité de l'UNRWA DT et a accepté ses conclusions factuelles. Sur la question de savoir si les faits établis ont montré une faute, UNAT a jugé que l'inconduite fondée sur des actes criminels sous-jacents ne dépend pas du condamné par le membre du personnel pour un crime devant un tribunal national. UNAT a rappelé la jurisprudence de l’ancien...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que les faits sur lesquels la sanction était fondée n'avait pas été établi par des preuves claires et convaincantes, bien que pour des raisons différentes de l'UNDT. Unat a jugé que la détermination de l'UNDT selon laquelle les preuves de deux témoins avaient peu de valeur probante étaient correctes car, bien que les déclarations écrites prises sous serment puissent être suffisantes pour établir par des preuves claires et convaincantes, les faits pour étayer le rejet d'un membre du personnel lorsqu'une déclaration n'est pas Fabriqué...
Unat a considéré deux appels, un par Mme S. Nourain et un par Mme A Nourain, contre le jugement n ° UNT / 2012/142. UNAT a rejeté l'appel de Mme A. Nourain car elle n'était pas partie à la procédure et n'avait aucune position pour faire appel. Unat a soutenu que les faits n'étaient pas contestés; L'inconduite avait été établie, tout comme sa gravité. Unat a jugé qu'il ne pouvait pas dire que la sanction du licenciement était injuste ou disproportionnée par rapport à la gravité des infractions. UNAT a rejeté l'appel de Mme A Nourain comme non à recevoir et l'appel de Mme S. Nourain sur le fond.
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que des motifs existaient pour libérer M. Leal pour faute, sans avoir besoin de résoudre la question du contournement présumé du processus de recrutement aux fins de l'embauche. Unat a jugé que l'inconduite et la mesure disciplinaire du licenciement relevaient du pouvoir discrétionnaire du Secrétaire général et ne pouvaient être considérées comme disproportionnées aux infractions à moins que ce ne soit le résultat d'abus prouvé ou d'exercice arbitraire de ce pouvoir discrétionnaire. Unat a estimé que les éléments clés de la procédure...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé qu'il était convaincu que l'implication de Mme Akello dans la société privée Blessed Seasons, qui figurait sur une liste des entreprises de l'ONU fournissant des services de véhicules d'escorte, a respecté la norme d'activité commerciale et l'entreprise interdite par l'ancien règlement du personnel 1. 2 (m) et que ses activités équivalaient à un conflit d'intérêts. Unat a jugé que, en jugeant le contraire, undt a commis une erreur en droit et en fait et que l'appel du Secrétaire général a réussi à ce motif. Sur la question de savoir...