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En appel par le Secrétaire général, Unat a constaté que UNDT avait commis une erreur en fait et en droit dans sa conclusion que les faits d'inconduite n'avaient pas été établis par des preuves claires et convaincantes. Unat a noté qu'une considération appropriée de l'ensemble des preuves n'aurait pu conduire qu'à une conclusion, et c'est que l'individu a agressé la victime. Unat a constaté que l'UNDT ne considérait pas objectivement les preuves, en particulier en accordé une importance déplacée pour les incohérences mineures, en arrivant à des conclusions déraisonnables sur les faits qui n...

Unat a jugé que les faits incontestés, la preuve d'un rapport crédible, des preuves de ouï-dire cohérentes pointant vers un modèle de comportement, la cohérence des déclarations des témoins, l'énoncé insatisfaisant du membre du personnel et les probabilités inhérentes à la situation, prises de manière cumulative, constitué une concaténation claire et convaincante des preuves établissant, avec un degré élevé de probabilité, que l'inconduite présumée se produisait en fait. Unat a noté que l'organisation a droit et obligé de poursuivre une approche grave du harcèlement sexuel et que le message...

Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé et que des preuves claires et convaincantes ont établi que l'appelant a participé à une tentative de prise de biens appartenant à l'organisation. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé en concluant que la sanction disciplinaire du licenciement du service était proportionnée et légale. Sur l’affirmation de l’appelant selon laquelle les articles étaient «des ordures», Unat a jugé que cette affirmation était entièrement sans fondement, car la preuve a montré que les articles incluaient plus de 5 000 USD de matériel, y compris des boîtes de nouvelles...

Unat a soutenu que les conclusions du JAB WMO n'étaient pas suffisamment articulées dans le dossier écrit; Il n'a pas fourni une décision écrite traitant entièrement des questions factuelles et juridiques. Unat a jugé que, parce que la base factuelle de la détermination du JAB selon laquelle le licenciement sommaire était justifié n'était pas clair et dans le rapport de JAB, il n'était pas possible de déterminer si le JAB a commis les erreurs présumées sur les questions de fait pertinentes, résultant en un seul décision déraisonnable. Unat a jugé que parce que le JAB a limité son enquête pour...

Sur le retard avant UNDT, Unat a convenu que le retard était regrettable, mais a estimé que le demandeur n'avait pas démontré qu'il s'agissait d'une erreur de procédure affectant l'issue de l'affaire. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en exerçant son pouvoir discrétionnaire de gestion des cas lorsqu'il a refusé la demande d'audience orale, mais que cette erreur n'a pas affecté la décision de l'affaire. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé car il y avait des preuves claires et convaincantes que le demandeur avait commis un harcèlement sexuel. Unat a jugé que la sanction...

Unat avait devant lui un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en droit et en fait conduisant à une décision manifestement déraisonnable lorsqu'elle a jugé que M. Siddiqi n'avait pas menacé de tuer des membres du personnel identifiés, mais n'avait fait que menace non plus de «certains» membres du personnel. Unat a jugé que les déclarations des trois témoins ont rendu des preuves claires et convaincantes que l'appelant n'a pas seulement prononcé une menace non spécifiée, mais qu'il avait menacé de tuer des membres du personnel identifiés. Unat a jugé que Undt...

Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en ne fixant aucun poids aux preuves médicales et en concluant que la mesure disciplinaire imposée était basée sur une détermination incorrecte de la nature et de la gravité de l'assaut. Unat a soutenu qu'il y avait d'autres facteurs plus importants à considérer, notamment le fait que l'appelant était un membre du personnel en charge de la sécurité locale et que sa conduite était un abus d'autorité et d'oppression d'un habitant local. Unat a rappelé que le test de proportionnalité nécessitait une comparaison entre l'inconduite et la sanction, et non...

Sur l’affirmation de l’appelant selon laquelle le juge UNDT a été biaisé, Unat a jugé que les allégations spécifiques de l’appelant n’avaient pas été présentées et que des faux pas dans la conduite de l’audience n’ont pas justifié une ingérence avec le résultat. Sur l'affirmation de l'appelant selon laquelle son superviseur l'a harcelé dans la mesure où ses actions étaient considérablement atténuées, Unat a soutenu que même si l'appelant établit qu'il y avait une relation dysfonctionnelle entre lui et son superviseur, cela n'aurait pas pu avoir pour effet d'atténuer ses actions De manière...

Unat a soutenu que UNDT avait raison de ne pas conclure que l'appelant avait initié le combat physique. Unat a jugé que UNDT avait le droit de conclure que la preuve d'un témoin n'était pas claire et convaincante, compte tenu des incohérences. Unat a jugé que UNDT a correctement déterminé qu'une altercation préalable ne pouvait pas fournir de preuves de propension pour corroborer les comptes des témoins sur la lutte physique parce que l'altercation préalable n'a pas été étudiée correctement. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en concluant que l'appelant avait été indûment influencé...

Unat a soutenu qu'il n'y avait aucune difficulté en principe concernant l'admissibilité de la conversation secrètement enregistrée en fonction de la façon dont elle a été achetée, même si elle a pu impliquer un élément de piégeage; Cependant, l'UNAT craignait que la valeur probante des preuves ne dépendait de la crédibilité d'une personne qui n'a pas témoigné devant l'UNDT. Unat a noté que le contenu des e-mails contemporains qui soutenait la transcription de la conversation téléphonique est resté du ouï-dire à moins qu'il ne soit confirmé par les auteurs ou les destinataires des e-mails et qu...