Le Tribunal a noté que l'ordonnance n° 20 (NBI/2024) dans l'affaire n° UNDT/NBI/2024/008 a rejeté la demande de suspension de l'action du requérant en vertu de l'art. 13 du règlement intérieur du Tribunal. Le requérant a soutenu que le Tribunal a mal interprété sa demande dans l'affaire n° UNDT/NBI/2024/008 comme étant déposée en vertu de l'art. 13 du Règlement intérieur de l'UNDT (régissant la suspension de l'action pendant une évaluation de la gestion), plutôt que de l'art. 14 (régissant la suspension de l'action pendant la procédure) de ces règles.
Le Tribunal a estimé que, dans la mesure...
Le TANU a estimé que l'administration n'avait pas agi de manière déraisonnable ou illégale en demandant à l'agent de travailler depuis son bureau deux jours par semaine. Il a en outre estimé que les considérations pertinentes, y compris la situation personnelle et médicale de l'agent, avaient été prises en compte et que les considérations non pertinentes avaient été exclues. Le TANU a également estimé que l'administration n'était pas tenue d'établir que les aménagements demandés représentaient une charge disproportionnée ou indue pour le lieu de travail.
Le TANU n'a pas non plus trouvé de...
Le TANU a estimé que M. Safi ne s'était pas acquitté de la charge qui lui incombait d'identifier en quoi et pour quelles raisons le DT de l'UNRWA avait commis une erreur dans son jugement. M. Safi s'est contenté de réitérer les mêmes arguments que ceux qu'il avait présentés dans sa requête au tribunal de l'UNRWA. Le TANU a déclaré qu'il ne lui appartenait pas de réexaminer le cas de l'agent et que, par conséquent, son recours devait être rejeté. Le TANU a également observé que le DT de l'UNRWA avait tiré des conclusions raisonnables de son vaste exercice d'établissement des faits et qu'il...
Lors de l’examen des décisions liées au rendement, ilLe litige entre les parties porte sur la question de savoir si le requérant a rempli la condition de service satisfaisant pendant sa période probatoire pour justifier un droit contractuel à ce que son ATF soit converti en ACR. Dans ce contexte, le requérant prétend que son AFR et son ASR n'ont pas identifié de lacunes de rendement pendant le cycle de rendement, y compris lors des deux entretiens « marquants » sur le rendement qu'ils ont eus avant la décision contestée. Il semblerait que la première fois qu'il a entendu parler d'une...
Le Tribunal a noté que, sur la base des éléments de preuve dont il disposait et qui n'étaient pas contestés par le requérant, la lettre de sanction avait été émise le 1er juillet 2022 et que le requérant l'avait reçue le 5 juillet 2022. Conformément à la règle 11.2(b) du Règlement du personnel, les décisions disciplinaires ne font pas l'objet d'un contrôle hiérarchique. Cela signifie que le requérant aurait dû déposer sa requête au plus tard le mardi 4 octobre 2022 pour respecter le délai de 90 jours calendaires. Il a déposé sa demande le 31 janvier 2024, soit plus d'un an après le délai légal...
Le Tribunal a estimé que le requérant n’avait pas prouvé qu’il avait subi un effet défavorable direct en raison de la décision attaquée. La décision attaquée n’est donc pas une décision administrative au sens de l’article 2(1) du Statut du Tribunal du contentieux administratif.
La principale question soumise à l'examen du Tribunal dans cette affaire concernait la légalité de la suppression du poste du requérant entraînant le non-renouvellement de son engagement à durée déterminée.
Le Tribunal a défini les questions à examiner en l'espèce comme suit :
La restructuration était-elle authentique ?
Les éléments de preuve versés au dossier montrent que la restructuration a été effectuée dans le cadre de la transition à l'échelle du Secrétariat de l'ONU des services de technologie de l'information et de la communication ("TIC") de l'entreprise vers le nuage. La CESAP a...
Le Tribunal estime que la requête n’est pas recevable ratione materiae parce que le requérant, de son propre aveu, n’a pas demandé l’évaluation par la direction des décisions attaquées.
Le TANU a estimé que le DT de l'UNRWA avait correctement identifié plusieurs irrégularités de procédure dans la décision contestée. Conformément au paragraphe 9 de l'instruction technique 02/2016 du Département des services de contrôle interne (DIOS) sur la politique d'enquête de l'UNRWA (DTI 02/2016), l'enquête aurait dû être autorisée dans les 10 jours suivant le rapport du comité d'accueil ; or, en l'espèce, il a fallu attendre 11 mois pour obtenir l'autorisation d'enquêter. Le TANU a estimé que ce délai était si excessif qu'il aurait été pénible pour une personne moyenne.
Analysant les...
Le Tribunal a conclu que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en estimant que l'administration avait établi que l'AAR avait divulgué illégalement des informations confidentielles et qu'il avait illégalement omis de signaler un conflit d'intérêts et de se récuser.
Le Tribunal d'appel a également estimé que la mesure administrative imposée à AAR était proportionnée à sa faute et que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en accordant des dommages moraux pour le préjudice subi par AAR en raison du retard excessif dans l'achèvement de la procédure disciplinaire.
Le Tribunal d'appel a donc...