Unat a jugé que les preuves contre l'appelant découvertes par l'enquête étaient si écrasantes que la seule conclusion raisonnable disponible pour UNDT était que les faits ont été établis par des preuves claires et convaincantes. Notant que la preuve qu'il était en possession de la carte volée et qu'il l'a utilisée pour faire le plein de son propre véhicule privé n'a pas été contestée par l'appelant, Unat a soutenu que son explication de la façon dont il est entré en possession de la carte volée et comment il est venu L'utiliser était incapable de croire. Unat était d'accord avec la conclusion...
Sanction disciplinaire
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que l'appel du secrétaire général avait été déposé à temps et était à recevoir. Unat a jugé que, puisque les parties ont accepté et identifié les faits dans leur déclaration conjointe, il n'était pas ouvert à UNT pour mener sa propre évaluation, puis pour remplacer son point de vue à celui des parties. Unat a jugé que l'inconduite était de nature grave et grave et dans ces circonstances, la sanction de la séparation était raisonnable et non disproportionnée et / ou arbitraire. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en inversant...
Unat a considéré un appel du commissaire général. Unat a jugé que l'UNRWA DT définissait le cadre juridique correct, mais a ensuite examiné par erreur les preuves et interféré avec le pouvoir discrétionnaire administratif, car l'UNRWA avait établi l'inconduite par des preuves claires et convaincantes. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur en droit dans son évaluation des preuves et que l'UNRWA avait établi l'existence des faits justifiant une sanction disciplinaire. Unat a jugé que la procédure et la décision ultérieure étaient légales et qu'il n'y avait aucune base pour annuler...
L'UNAT a considéré à la fois un appel de Mme Flores demandant une augmentation de l'indemnisation et un appel à l'appel par le Secrétaire général. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé en déterminant ni qu'il y avait des violations procédurales qui justifiaient l'annulation de la décision de séparation ou dans sa détermination que Mme Flores n'avait pas droit à réintégrer (justifiant une attribution importante) car son contrat devait expirer peu de temps après la réception de la lettre de licenciement. Unat a noté que Mme Flores n'a pas été informée avant l'entretien quelles étaient les...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en droit en concluant que la sanction disciplinaire imposée était disproportionnée et en le substituant par conséquent à une sanction moindre. Unat a jugé qu'une faute grave avait été établie et que la mesure disciplinaire de la séparation du service sans indemnisation de licenciement était proportionnée. Unat a noté que l'inconduite mettait en danger la santé publique car la nourriture était distribuée avec des dates d'expiration modifiées pour cacher le fait de son expiration. Unat a jugé que la...
UNAT a considéré les appels par le Secrétaire général et M. Bastet. Unat a jugé que la mesure disciplinaire était régulièrement adoptée par un individu correctement investi avec l'autorité déléguée de prendre cette décision et que, par conséquent, l'imposition de la mesure disciplinaire était valide et que son annulation telle que ordonnée par undt devait être annulée. Immêlé l'appel du Secrétaire général, acceptant l'argument selon lequel la règle du personnel 10. 1 (c) a expressément prévu que l'autorité d'imposer des mesures disciplinaires a été investie du secrétaire général ou des...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que la sanction imposée à M. Cobarrubias n'était pas déraisonnable, absurde ou disproportionnée. Unat a soutenu qu'il s'agissait d'un exercice raisonnable de la grande discrétion de l'administration en matière disciplinaire, avec laquelle elle n'interférerait pas à la légère. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en constatant que la sanction est disproportionnée et en substituant son opinion à celle de l'administration. Non annulé le jugement UND.
UNAT a considéré l’appel du Secrétaire général. UNAT a rejeté la requête de M. Rajan pour que l'appel soit entendu sur une base accélérée, car il était devenu théorique, car les contraintes de gestion des cas ordinaires signifiaient qu'elle n'aurait pas pu être entendue plus tôt. Unat a jugé que l'UNDT avait commis une erreur de droit en jugeant que le Secrétaire général était obligé de prouver que M. Rajan avait l'intention d'induire l'organisation en erreur. Unat a soutenu qu'il ne faisait aucun doute que M. Rajan a déformé la véritable situation plus d'une fois. Unat a jugé que c'était la...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur lorsqu'elle a conclu que la décision de l'administration était illégale et que la sanction imposée était disproportionnée par rapport à la nature et à la gravité du comportement le déclenchant. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur lorsqu'elle a ordonné l'annulation de la sanction et de l'indemnisation au lieu de celle-ci et a substitué la sanction imposée à un moins. Unat a jugé que le secrétaire général avait un large pouvoir discrétionnaire pour déterminer si l'agression équivalait à une...
Unat a considéré l'appel de M. Bagot et de l'appel croisé du commissaire général. Unat a jugé que le commissaire général est à recevoir. Unat a convenu avec les conclusions de l'UNRWA DT que les faits établis concernant le déjeuner et les événements qui ont eu lieu dans l'appartement ne constituaient pas une faute. Unat a jugé que la seule conclusion raisonnable accessible au juge de première instance était que les faits de l'inconduite présumée n'étaient pas établies par des preuves claires et convaincantes, à la lumière de l'intrigue et de la séquence des événements, évaluées conjointement...