Le Tribunal a constaté qu'en tant que chef d'entité, le chef de mission/commandant de la force avait délégué le pouvoir de réaffecter un membre du personnel au sein de la FINUL en vertu de l'article 1.2 c) du Statut du personnel. Le Tribunal a en outre conclu que le maintien d'un environnement de travail harmonieux et la prévention des comportements interdits constituaient une raison opérationnelle valable de réaffectation. La demande a été rejetée.