缅北禁地

Together we can change so much

Lunch Sessions, 12:15 - 13:45

12:15 - 13:45, Room 101

Lead organizer: Global Community and Engagement Fund (GCERF) 
Partner entities: Ministry of Foreign Affairs of Bangladesh 

The People’s Republic of Bangladesh will ‘graduate’ from the Least Developed Countries (LDC) category in 2026, achieving the thresholds for all three criteria of Gross National Income (GNI), Human Assets Index (HAI) and Economic and Environmental Vulnerability Index (EVI), and despite the setbacks of the COVID-19 pandemic. This success has been based on recognition by the government that human rights, peace, and security are fundamental to achieve development. This side-event illustrates this security-development nexus in Bangladesh with a focus on the government’s very significant progress in preventing violent extremism (PVE): Bangladesh has dropped faster in the rankings of the Global Terrorism Index (GTI) than any other country worldwide. The Government’s strategy, supported by the Global Community Engagement and Resilience Fund (GCERF), has promoted education, cultural diversity and tolerance, employment, and multilateral dialogue to build community resilience to violent extremism, in turn promoting lasting peace, stronger institutions, and a more inclusive society. This side-event will learn lessons, including from the Foreign Secretary of Bangladesh and civil society representatives, for how other potential graduates from the LDC category can secure development by preventing violent extremism. 

The event contributes directly to the implementation of the Doha Programme of Action (especially para 89-93), recognizing how development and security, including preventing violent extremism, are fundamental for achieving the Sustainable Development Goals and achieving specific targets for graduating from LDC status, illustrated with a case study on Bangladesh, which will graduate in 2026. 

Chair: Mr Stefano Manservisi, Chair of the GCERF Governing Board 

Keynote address: H.E. Mr Masud Bin Momen, Ambassador and Foreign Secretary, Ministry of Foreign Affairs of the People’s Republic of Bangladesh  

Speakers: 

Dr Khalid Koser, Executive Director, GCERF 

Ms Tasnima Matin*, Program Coordinator, Rupantar, Bangladesh 

Ms Khaleda Begum*, Team Leader of CEVEC Project, Young Power in Social Action (YPSA), Bangladesh 

*joining virtually 

Contact person: Katya Palazzolo, k.palazzolo@gcerf.org +41 76 579 49 48; Zoe Tarimo, z.tarimo@gcerf.orfg +41 79 697 95 62 

 

12:15 - 13:45, Room 102

Lead organizer(s): INBAR

Objetive: To showcase the potential of bamboo to contribute to the Doha Programme of Action

12:15 - 13:45, Room 104

Lead organizer(s): WEF

 

12:15 - 13:45, Room 105

Lead organizer(s): UNU-WIDER/OECD/FERDI

 

12:15 - 13:45, Auditorium 3

Lead organizer(s): Qatar Ministry of Public Health

 

12:15 - 13:45, PSF room 1

Lead organizer(s): Solidarité Agissante pour le Développement Familial (SADF) and SOS Family

En République Démocratique du Congo, le Secteur Informel emploie 81,5% des actifs occupés, le secteur public 4,9% et le secteur privé formel 4,7%. La banque mondiale a estimé 97,5. Des victimes de ces tracasseries, le pays en compte des milliers. Dans chaque ville, dans chaque quartier, une personne qui tentait de se créer un petit revenu a d? mettre un terme à son activité, victime du harcèlement d’un agent local. Ce genre d’abus sur des travailleurs ou travailleuses isolés n’a rien d’étonnant dans un pays où le travail informel est la norme. Il représente entre 81,5% de l’économie congolaise. De l'archa?sme à la modernité Cette étude montre également que les UPI (Unité de Production Indistriel) qui utilisent les innovations technologiques produisent 10,5 fois plus que les autres. Ce niveau atteint 20 fois dans le Commerce et les Services. Le secteur informel est une situation précaire et transitoire, mais offre néanmoins le plus d'opportunités d'intégration économique. Elle constitue l'Economie de la Misère, à laquelle l'Etat ne réclame même pas les Imp?ts. Sa productivité dérisoire lui permet juste de nourrir ceux qui la font fonctionner au quotidien. Organisé et financé, il génère des excédents importants pour le commerce national, la transformation et l'exportation. Elle génère alors une masse monétaire capable de faire la différence entre pauvreté et développement. C'est une des solutions à l'équation de la productivité du secteur que nous proposons ici. Pour passer de l'archa?sme à la modernité, nous avons retenu, comme le montre l'illustration en en-tête de ce blog, 4 métiers très répandus pratiqués par le Secteur Informel et dont l'impact sur le Commerce et l'Industrie est déterminant : Agriculture Il représente 55,2% du Secteur Informel. Elle emploie donc une importante main-d'?uvre travaillant avec des méthodes archa?ques et des outils agricoles. L'agriculture pratiquée est essentiellement une agriculture de subsistance. Il faut, à l'heure où les prix des denrées alimentaires vont continuer à augmenter, d'augmenter les surfaces cultivées par la mécanisation, d'améliorer la qualité de l'agriculture par l'intéressement et la formation d'un nouveau type d'agriculteur attiré par la réduction de la pénibilité du travail et la possibilité de gains substantiels. L'agriculture doit cesser d'être le métier des plus pauvres et des for?ats du XXIe siècle. Ceci aura pour effet d'augmenter la productivité des acteurs, de générer des excédents agricoles pour le marché intérieur, la transformation et l'exportation. La valeur ajoutée ainsi créée contribuera à stabiliser notre balance des paiements à notre profit. L'exode rural qui vide nos campagnes des armes les plus robustes pour engorger les villes et augmenter le nombre de ch?meurs et de délinquants potentiels s'essoufflera aussi notablement

12:15 - 13:45, Auditorium 2

 

Lead organizer(s): Education Above All and UNESCO

Higher education is a critical link between learning and earning, allowing young people to thrive and build sustainable futures. When marginalized and underserved youth are not able to access opportunities to maximize their full potential, we are all impacted.  The education development sector is often focused on providing opportunities for marginalized youth, yet what is sometimes overlooked are the barriers youth face to accessing these opportunities.  The recognition of qualifications for forcibly displaced populations has become a growing concern in recent years; there are many challenges to having their qualifications recognized, including missing or insufficient documentation proving their educational background, legal and language barriers, lack of capacity and funding, and differences between education systems. This session will take a detailed look at the issue of recognition of education qualifications as a barrier to accessing higher education, specifically the UNESCO Qualifications Passport (UQP).  It will also feature a youth dialogue on the UQP and the challenges they face in accessing higher education. 

12:15 - 13:45, PSF room 3

Lead organizer(s): Qatar

 

12:15 - 13:45, Exhibition Hall 2A

Lead organizer(s): Qatar National Human Rights Committee