2022-UNAT-1258, Yulia Andreeva
Unat a jugé qu'une analyse de l'e-mail et d'une autre correspondance entre le PNUD et l'appelant a indiqué qu'elle n'aurait pas pu être amenée à croire que sa demande de congé pour janvier 2020 serait accordée. On lui avait informé qu'un membre du personnel n'avait droit à un congé à domicile que si le contrat du membre du personnel devait se poursuivre pendant plus de six mois après le rendement du congé, mais l'engagement continu de l'appelant avec le PNUD était inconnu, et sa date de fin de contrat actuelle était le 30 juin 2020. Unat a jugé que le PNUD s'était conformé de ses obligations à considérer et à décider de la demande de congé à domicile raisonnablement et en temps opportun. Unat a jugé que l'UNDT n'avait pas été démontré qu'il avait commis une erreur en droit ou en fait. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
L'appelant a contesté la décision de la trouver inadmissible à un droit à domicile. Undt a rejeté sa demande.
L'organisation a l'obligation de considérer et de décider d'une demande de congé à domicile raisonnablement et en temps opportun.