- Ayant pesé les deux comptes des antécédents factuels de l'affaire, parallèlement aux preuves enregistrées, le tribunal constate qu'il y avait des preuves claires de performances insatisfaisantes au cours de la période menant à la séparation du demandeur du service. Ainsi, il ne trouve pas mal dans la décision de résilier la nomination continue du candidat. - Les accidents signalés par la requérante ont eu lieu après avoir reçu la lettre résiliée à son contrat à compter immédiatement. Par conséquent, au moment de l'accident, le demandeur n'était plus membre du personnel de l'organisation. En...
Licenciement (de nomination)
Le demandeur n'est plus intéressé par la poursuite et l'issue de ces procédures judiciaires, qui doivent donc être réputées abandonnées, et cette affaire devrait donc être rejetée faute de poursuites.
L'audit de l'IOO, en effet, n'avait pas le caractère d'une enquête disciplinaire sur les éventuels actes répréhensibles, y compris l'inconduite, du demandeur. Au contraire, comme le soutient le requérant, il semble qu'aucun processus disciplinaire ne soit entrepris. Par conséquent, le demandeur n'a reçu aucune des garanties de procédure obligatoires décrites au PAR. 35 (a) - (c) du jugement, à savoir (a) le droit d'être informé de l'allégation d'inconduite, (b) le droit de commenter alors, et c) le droit d'être représenté être un avocat devant le La décision d'inconduite a été prise et la...
Le demandeur n'a avancé aucune exception à la règle selon laquelle les résolutions de l'Assemblée générale ne peuvent pas ne pas être exposées au contrôle judiciaire par le Tribunal. Ces exceptions surviennent lorsque le secrétaire général est mandaté pour interpréter une décision réglementaire ambigu, pour se conformer aux procédures ou lorsque la mise en œuvre de la résolution implique l'application d'un critère. En l'espèce, le rôle du Secrétaire général dans la mise en œuvre de la résolution pour abolir la position d'ingénierie P-4 était mécanique et n'était pas révisable. À cet égard, l...
Le demandeur a été séparé du service pour soumettre de fausses informations dans trois réclamations pour traitement dentaire au fournisseur de régime d'assurance médicale, Cigna, pour remboursement. Les droits de la procédure régulière du demandeur ont été respectés car, lors de l’enquête, il a été correctement informé du sujet et du but de l’entretien et a donné un préavis suffisant. Il n'a également eu aucune objection quant à la conduite de l'entretien lorsqu'on lui a demandé à la fin de son entretien. En ce qui concerne l'affirmation selon laquelle le demandeur a insisté sur le fait que le...
La décision contestée est née d'un accord signé le 21 avril 2020 entre le demandeur et l'UNICEF pour résilier sa nomination. Si la requérante avait souhaité contester les circonstances de son accord de licenciement, elle aurait dû demander l'évaluation de la direction d'ici le 20 juin 2020. Elle a toutefois soumis sa demande le 18 janvier 2021, près de sept mois plus tard et en dehors de la période de 60 jours. La demande d'évaluation de la gestion a été barrée dans le temps et donc la demande n'était pas à recevoir.
L'administration a tenu des consultations suffisantes avec le personnel sur la restructuration du secrétariat de l'OMM en: annonçant la restructuration suffisamment à l'avance, organisant des réunions avec les représentants du personnel et créant un mécanisme de consultation pour entendre les préoccupations du personnel. L'administration avait le demandeur, un détenteur de nomination permanent dont le poste a été aboli, subissait un entretien pré-dépistage pour un poste vacant avec tous les autres candidats présélectionnés. Ce faisant, l'administration n'a pas permis à la priorité du demandeur...