Étant donné que la requérante a opté pour le paiement de la prime de rapatriement au taux de dépendance, deux options s'offraient à son mari :
a. Demander une prime de rapatriement au taux simple pour la période de service postérieure à la cessation de service de la requérante jusqu'à la date de sa cessation de service ; ou
b. Si elle a droit à un taux pour personnes à charge, de demander ce taux pour toute la période de service ouvrant droit à la prime, moins le montant de la prime versée à la requérante.
Les preuves au dossier montrent que le mari de la requérante a servi...