Unat a jugé que l'appelant n'avait pas contesté la décision de la séparer de l'organisation, donc le SAB n'a pas été saisi avec sa séparation et son appel à cette question n'était pas à recevoir. UNAT a jugé que les réclamations de l’appelant pour indemnisation pour la douleur, la souffrance et les dépenses médicales dépassaient le cadre de l’affaire et donc pas à recevoir. Unat a jugé que la décision du secrétaire général de l'OMI de placer l'appelant en congé de maladie était fondée sur de bonnes preuves médicales qui n'ont pas été réfutées à l'époque et qu'il n'y avait aucune base pour...