2011-UNAT-182, O'Neill
INAT ATTRANT AUX AUTUSSES que l'appelant n'a pas fait appel de la décision administrative de ne pas le sélectionner pour le poste, ni contesté le processus de sélection ou la conclusion du JAB, mais il a plutôt discuté de la libération d'une lettre confidentielle qui s'est produite après le processus de sélection. Unat a jugé que UNDT avait raison de conclure que l'appel n'était pas à recevoir en ce qui concerne la non-promotion. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas établi que les erreurs engagées par UND ne justifiaient l'inversion de sa détermination que son défi à la décision de divulguer la lettre confidentielle n'était pas à recevoir. Unat a jugé que UNTT a conclu correctement que la question liée à la divulgation de la lettre confidentielle est née d'un acte administratif qui a eu lieu après la procédure concernant le processus de non-sélection était déjà en cours et était une question qui constituait une affaire indépendante qui aurait dû subir Examen administratif. Unat a jugé que l'UNDT était compétent pour examiner sa propre juridiction, qu'elle ait été soulevée ou non par les parties. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Le requérant a contesté sa non-promotion et la libération d'une lettre confidentielle de son avocat exprimant des préoccupations et demandant une enquête sur l'affaire à un certain nombre de membres du personnel. Unat a jugé que la demande n'était pas à recevoir car il était barré.
Pour identifier les motifs d'appel judiciaire, la partie doit les exprimer clairement et inclure dans ses plaidoyers la partie correspondante du jugement en appel avec une référence spécifique à la décision administrative contestée. UNDT est compétent pour examiner sa propre juridiction, qu'elle ait été soulevée ou non par les parties.