2012-UNAT-218, Christensen
En tant que question préliminaire, UNAT a nié la demande de l'appelant pour une audience orale, car les soumissions par les parties ne nécessitaient pas de clarification. UNAT s'est demandé si son cas avait présenté des circonstances exceptionnelles qui justifieraient la réouverture de son cas par le Secrétaire général, car sa demande n'a pas été déposée en temps opportun. Unat a constaté que l'appel n'était pas à recevoir car, malgré sa maladie, elle n'a pas démontré de telles circonstances. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNT.
Le requérant a contesté la décision du Secrétaire général de ne pas rouvrir ou reconsidérer un conseil consultatif sur la décision des réclamations d'indemnisation (ABCC) à partir de 2004. UNDT a conclu que l'affaire ABCC n'était pas à recevoir Ratione tempis.
Le Secrétaire général peut rouvrir une affaire à condition que le demandeur présente des circonstances exceptionnelles. En ce qui concerne les délais, il est de la responsabilité du membre du personnel de s’assurer qu’il est conscient de la procédure applicable dans le contexte de l’administration de la justice de l’ONU; L'ignorance ne peut pas être invoquée comme une excuse.