2019-UNAT-898, Amarah
Unat a considéré un appel de M. Amarah et de l'appel croisé du commissaire général de l'UNRWA contre le jugement n ° UNRWA / DT / 2018/041 et le jugement n ° UNRWA / DT / 2018/004. Unat a estimé que les problèmes relatifs au processus de sélection des OSC et à l'affirmation selon laquelle l'UNRWA avait renoncé à l'état de la séparation de 18 mois après que les véhicules électriques n'étaient pas correctement avant lui, car ils n'avaient pas été soulevés avant Unrwa dt et n'étaient donc pas à recevoir. Notant que M. Amarah avait violé l'interdiction de l'emploi, Unat a jugé qu'il ne pouvait pas être autorisé à enfreindre sciemment les règles, à s'engager dans une activité illégale, puis à demander une compensation. Unat a jugé que Unrwa dt avait commis une erreur en répartissant la responsabilité comme elle l'avait fait. Unat a jugé qu'il n'y avait aucune preuve à l'appui d'une demande de dommages-intérêts moraux. UNAT a rejeté l'appel, a accordé à l'appel du commissaire général et a quitté les deux jugements de l'UNRWA DT.
M. Amarah a contesté la décision d'annuler sa nomination à durée déterminée, qui a été prise au motif qu'elle était en violation du cadre juridique de l'UNRWA sur la séparation volontaire exceptionnelle (EVS). M. Amarah avait pris des véhicules électriques, puis, en violation de ses conditions, a pris un emploi en tant qu'officier de services de camp (OSC) pendant la période où le réemploi a été interdit. L'UNRWA DT a constaté que la nomination de M. Amarah en tant que CSO avait été illégale et que l'UNRWA et le demandeur étaient responsables des conséquences, accordant à M. Amarah des dommages et intérêts moraux, répartissant la responsabilité de 25% à M. Amarah.
De nouveaux problèmes ne peuvent pas être introduits pour la première fois en appel. Celui qui vient aux capitaux propres doit venir avec des mains propres. Un membre du personnel ne peut pas être autorisé à enfreindre sciemment les règles, à s'engager dans une activité illégale, puis à demander une compensation. En général, la rémunération de préjudice doit être étayée par des preuves.