UNDT/2010/184, Amarilla
Le demandeur (mais pas son avocat) a reçu une copie de la lettre le 1er décembre 2008 et a donc eu jusqu'au 2 mars 2009 pour déposer sa demande. Cependant, sa demande était datée du 30 juin 2009, soit 120 jours après la date limite, et elle a été reçue par l'ancien tribunal administratif uniquement le 6 juillet 2009. L'intimé a soumis comme une affaire préliminaire que la demande était barrée dans le temps. Le requérant a soutenu que son avocat n'avait pas été informé de la décision de l'administration et que l'avocat n'a donc pas été en mesure de déposer un appel temporel. UNDT a constaté que le demandeur avait été informé de la décision contestée et qu'il était de la responsabilité du demandeur, qui a été informé du statut de son cas, de donner des instructions à son avocat. UNDT a jugé qu'il n'y avait aucune preuve que le demandeur ait pris des mesures pour initier son appel à temps, qu'il n'y avait aucune raison exceptionnelle de justifier une renonciation aux délais et que la demande était donc dérangée. ¸éé²õ³Ü±ô³Ù²¹³Ù: la demande a été rejetée.
Le requérant a contesté la décision de placer une lettre de censure sur son dossier officiel à la suite d'accusations de harcèlement sexuel contre lui.
Renonciation et suspension des délais, circonstances exceptionnelles: pour que UNT ne renonce ou suspend les délais stipulés dans l'art. 8 du statut, les raisons décrites dans une demande de renonciation ou de suspension des délais doivent montrer des circonstances qui sont hors de l'ordinaire, assez inhabituel, spécial ou rare; Ils n'ont pas besoin d'être uniques, sans précédent ou au-delà du contrôle du demandeur. Déchéance du droit d'être entendu: pour avoir debout devant undt, le demandeur doit montrer qu'il n'a pas été négligent ou perdu le droit d'être entendu par son inaction ou son manque de vigilance.