La demande n'est pas à recevoir car Art.8.1 du statut du tribunal indique clairement que la demande doit être déposée dans les 90 jours suivant la réception de l'évaluation de la gestion où l'évaluation de la gestion est prévue dans les 45 jours suivant la demande. Le demandeur a soulevé une évaluation de la direction de la plainte selon laquelle l'enquête n'était pas juste et équilibrée parce que le rapport ne lui avait pas été divulgué; Il n'y a eu aucune évaluation de gestion de l'allégation de négligence. Cette allégation n'est donc pas à recevoir.
Temporel (ratione temporis)
La décision contestée est née d'un accord signé le 21 avril 2020 entre le demandeur et l'UNICEF pour résilier sa nomination. Si la requérante avait souhaité contester les circonstances de son accord de licenciement, elle aurait dû demander l'évaluation de la direction d'ici le 20 juin 2020. Elle a toutefois soumis sa demande le 18 janvier 2021, près de sept mois plus tard et en dehors de la période de 60 jours. La demande d'évaluation de la gestion a été barrée dans le temps et donc la demande n'était pas à recevoir.
La conclusion de non-réivabilité dépend dans une certaine mesure de la perception de la finalité des mots utilisés dans l'e-mail de décision. Il y a un certain degré d'incertitude et les questions soulevées sur les mérites sont d'intérêt général. Par conséquent, l'application de l'approche adoptée par le Tribunal des appels des Nations Unies («Unat») dans HAQ et KANE 2019-UNAT922 Les questions liées au fond de l'affaire seront également déterminées. La décision contestée ne faisait pas partie d'un processus avec de nombreuses étapes. Il était complet en soi et a été clairement exprimé comme...
Le tribunal était convaincu que la décision verbale transmise au demandeur était «claire et sans ambiguïté» suffisamment pour avoir rencontré le test disposé par le Tribunal d'appel à Auda. Les e-mails répétés du requérant au répondant pour exprimer son désaccord avec la décision contestée sont la preuve de la clarté de la décision. Le temps a commencé à courir à partir de la date à laquelle la décision lui a été transmise sans ambiguïté.
Le dossier est clair que le demandeur est venu pour la première fois au Tribunal le 24 février 2020, après 90 jours à compter de la date à laquelle il a été informé de la décision contestée. Les délais pour les contestations officielles doivent être strictement appliqués, un jour de retard n'est en aucun cas de minimis. L'UNDT n'a aucun pouvoir discrétionnaire de renoncer aux délais applicables.