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New york

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Le tribunal a constaté que l’administration a correctement calculé les droits de congé de maladie du demandeur et que la procédure de résiliation de son rendez-vous pour des raisons de santé a été correctement suivie. Le tribunal a constaté que le demandeur avait été «réemplacé» sur le contrat à durée déterminée, la règle 4.17 du personnel a empêché la requérante de prétendre qu'elle avait terminé plus de trois ans de service continu en fonction de son service précédent en vertu de la nomination temporaire. Par conséquent, le droit au congé de maladie du demandeur de trois mois en salaire...

Le tribunal a constaté qu'il y avait une prépondérance de la preuve que le demandeur avait créé un environnement de travail hostile et qu'elle a illégalement interféré avec le processus de recrutement pour P-2 TJO. La requérante n'a pas respecté une conduite qui convient à son statut de fonctionnaire international supérieur. Les actions du requérant, telles qu’en établissent les faits, ont été l’abus de l’autorité du demandeur en tant que directeur au niveau du D-2 et constituent une faute dans le cadre juridique susmentionné. Le tribunal a constaté que les preuves étaient insuffisantes pour...

Lorsque le demandeur a demandé l'évaluation de la direction de l'imposition d'une condition à l'extension de son rendez-vous à durée déterminée, il n'a pas contesté la non-extension réelle de sa nomination qui n'a pas encore été prise à ce moment-là. Le demandeur n'a pas demandé d'évaluation de la gestion de la non-extension de sa nomination à durée déterminée avant de déposer la présente demande. En conséquence, tout appel de la non-renouvellement de la nomination du demandeur ne serait pas à recevoir Ratione Materiae. L’imposition de l’état de démission n’a pas en soi un impact juridique...

En somme, sur la base du dossier au dossier et des preuves orales fournies à l'audience tenue du 12 au 14 octobre 2021, le tribunal conclut qu'il est établi que le demandeur a giflé le 25 novembre 2016, mais le reste des allégations de MK sont non-établi. Puisqu'il est établi par des preuves claires et convaincantes que le demandeur a giflé MK, les faits établis équivalent à une faute. Compte tenu de la nature et de la gravité de l'inconduite du demandeur, des circonstances atténuantes que l'administration a pris en compte, ainsi que la pratique antérieure de l'organisation en matière d...

Le requérant n'a pas demandé le témoignage du plaignant et a donc renoncé à son droit de la contre-interroger malgré son autorisation de faire une telle demande en temps voulu au cours de cette procédure. Le récit du plaignant est resté détaillé, cohérent et cohérent dans sa plainte et dans l’entretien avec les enquêteurs. Il a également été largement corroboré par la déclaration du collègue à qui elle a rapidement signalé l'incident. Le tribunal note également l'absence de toute preuve suggérant un mauvais motif du côté du plaignant. Cette preuve répond aux normes établies par le Tribunal d...

Dans le cas présent, dans la demande d'évaluation de la gestion du demandeur, il a explicitement «réservé» la détermination de la question des dommages-intérêts non pécuniaires liés au processus devant l'ABCC à la situation où sa demande d'indemnisation en vertu de l'annexe D des règles du personnel était non plongé à l'ABCC. En fait, la réclamation de l'annexe D du demandeur a toutefois été renvoyée à l'ABCC, et rien dans le dossier du cas indique que la question des dommages-intérêts non pécuniaires était par la suite, comme le demande le demandeur, considéré par le MEU. En conséquence...