Ãå±±½ûµØ

CESAO

Showing 11 - 20 of 24

À partir du moment où le nouveau secrétaire exécutif a remporté ses fonctions à ESCWA, le secrétaire exécutif adjoint n'était plus compétent pour décider, le 8 août 2007, pour réaffecter le demandeur. En effet, il n'y a aucune preuve documentaire qu'il avait reçu la délégation de l'autorité du secrétaire exécutif pour prendre la décision contestée, ce qui est donc illégal. Cependant, le 16 août 2007, le secrétaire exécutif a confirmé la décision prise le 8 août 2007 par son adjoint. Cette nouvelle décision est légale, mais elle n'a pas pour effet de régulariser l'ex post facto la décision du 8...

Un seul témoignage signalant des déclarations discriminatoires faites par une personne est insuffisante pour déterminer si de telles déclarations ont été faites si la personne accusée nie avoir fait de telles déclarations. À partir du moment où une relation de confrontation existe entre un membre du personnel supérieur et son superviseur, le juge, sans qu'il soit nécessaire pour déterminer qui assume la responsabilité du conflit, considère que l'intérêt du service nécessite de s'attaquer sans retard sur le conflit et Justifie le non-renouvellement du contrat du membre du personnel, à moins que...

Dans sa demande d'examen au Secrétaire général, le demandeur a contesté la décision de ne pas le nommer au poste de chef (D-1), Division des technologies de l'information et de la communication, à ESCWA. Par la suite, dans son appel au JAB, le demandeur a cherché à contester plusieurs autres décisions. La seule décision que le tribunal est compétente à examiner est la décision pour laquelle un examen administratif a été demandé. L'évaluation des candidats à un poste relève de la discrétion du Secrétaire général et du Tribunal ne remplacera pas ses points de vue à celui du Secrétaire général...

UNDT/2012/204, Abosedra

La demande a été déposée environ onze mois après la période stipulée dans le statut et les règles de procédure du tribunal et a donc été jugée. En outre, le demandeur n'a fait aucune soumission sur la question de la créance, donc le tribunal a conclu qu'il ne s'agissait pas d'un cas exceptionnel pour justifier une renonciation au délai. L'UNDT a conclu que la demande était barrée dans le temps et donc pas à recevoir.

Sur le score de la prima facie illégation, le tribunal a jugé que l'intimé n'avait pas fourni des raisons pour lesquelles la décision de ne pas renouveler la nomination du demandeur était légale. Le tribunal a donc conclu que sur la base des preuves disponibles, la décision contestée était motivée par des circonstances compensatoires et était donc prima facie illégale. En ce qui concerne l'urgence, le tribunal a constaté que la requérante avait agi avec prudence en déposant sa demande en temps opportun. Par conséquent, le tribunal a jugé que dans les circonstances, l'exigence d'urgence avait...

UNDT/2013/181, Laurenti

Locus Standi: Les deux décisions que le demandeur a cherché à contester ne présentent aucun lien direct avec le propre contrat d'emploi du demandeur. Toutes les questions substantielles soulevées dans les réclamations concernent les termes d'emploi de Mme Okuda et de M. Alvaro-Rivero qui sont les deux personnes ayant la position requise pour contester les décisions concernant leurs réaffectations. Ayant constaté que le demandeur n'avait pas la position pour déposer les réclamations, la demande était considérée comme à recevoir.

Le Tribunal a constaté que l'acceptation par le demandeur de la mise en œuvre de l'accord, son incapacité à soulever les allégations de contrainte jusqu'à deux ans après la médiation et son non-respect de toute preuve à l'appui, ne peut que conduire à la conclusion que la revendication du demandeur de contrainte de contrainte est dépourvu de tout mérite. Fardeau de la preuve - Lorsqu'un demandeur allègue qu'un accord lui a été imposé par la contrainte, le fardeau lui incombe de convaincre le tribunal que telle est la situation. Res Judicata - Lorsque l'objet d'une demande a été réglé entre les...

La mention du nom du demandeur dans plusieurs documents communiquée à un certain nombre de pays en relation avec une enquête en cours a eu un impact sur la mobilité professionnelle du demandeur. En effet, pendant les voyages officiels, le requérant avait été arrêté dans divers aéroports, parfois pendant plusieurs heures, et on lui avait demandé s'il avait un autre passeport en sa possession. L'absence de réponse de l'OIOS au cours de son enquête pluriannuelle a été un acte délibéré, sinon un exemple de négligence dans l'obligation de l'administration d'agir dans un délai relativement...

UNDT/2016/211, Kadri

Recondité - L'article 7.4 des règles de procédure UNDT exige que toute demande visant à appliquer les termes d'un accord de règlement doit être déposée dans les 90 jours civils du dernier jour pour la mise en œuvre comme spécifié dans l'accord et où les dates de mise en œuvre ne sont pas indiquées , la demande doit être déposée dans les trente jours civils suivant la signature de l'accord de règlement. Un examen de l'accord de règlement entre les parties montre qu'aucune date n'a été stipulée pour sa mise en œuvre. Toute application contestant qu'elle doit donc être introduite dans les 30...

Le fait de ne pas tenir compte des rapports E-PAS du demandeur et de les résoudre en particulier dans le contexte de la disparité entre ses notes et ceux des agents de déclaration du demandeur sur les mêmes compétences et au sein de la même organisation, il y avait un grave défaut dans le processus de sélection. UNDT était convaincu que le panel répondait à son exigence de poser des questions de sondage, même si le rapport le reflétait comme «invitant» plutôt que de «sondage». L'absence d'un membre ex-Officio sur le panel d'évaluation / d'entrevue en soi n'a pas pu violer l'exercice de...