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Indemnités de licenciement

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L'UNAT a estimé que, parce que le licenciement avait été annulé et que M. Mukhopadhyay avait été réintégré à la suite du premier jugement, l'appel du deuxième jugement était devenu sans objet car il ne pouvait y avoir aucun droit à un préavis de licenciement conformément aux règlements et règles applicables. L'UNAT a donc fait droit à l'appel du Secrétaire général et annulé le deuxième jugement.

L'UNAT a jugé irrecevable l'appel incident de M. Mukhopadhyay demandant une indemnisation pour les dommages indirects, une indemnisation pour le préjudice moral et les dépens. L'UNAT a constaté qu'il...

L'UNAT a rejeté l'appel. L'UNAT a d'abord jugé que l'UNDT avait commis une erreur en droit dans l'application rétroactive de la règle 193.3 (c) rétroactivement lorsqu'elle a examiné son droit à une indemnité de licenciement. Au moment où la décision contestée a été prise, seuls les règlements et règles du personnel de l'OMM 2019 étaient en vigueur et auraient dû être appliqués. L'UNDT a fait une erreur dans l'application de la loi 2020 en fonction de la soumission par le Secrétaire général de la mauvaise version des réglementations et règles de l'OMM à l'UNDT. L'UNAT a confirmé la conclusion...

La correspondance post-résiliation du requérant visant à clarifier les prestations de ses terminaux, sa réception éventuelle d'un état de paiement le 20 septembre 2021 et le dépôt d'un nouveau Mer le 27 octobre 2021 réitérant les points précédemment soulevés et décidés par le meu ne pas réinitialiser l'heure du dépôt de la demande. Le demandeur a attendu environ sept mois après avoir reçu la réponse du MEU en juin 2021, qui a abordé ses soumissions sur le droit à l'indemnité de résiliation, avant de déposer la demande. La demande était donc en dehors du délai de 90 jours autorisé.

Portée de la revue judiciaire Le tribunal divertit les demandes contre les décisions administratives de novo et sans égard à l'issue de l'examen du MEU. En conséquence, le tribunal ne statuera pas les arguments du demandeur concernant les réponses du bureau de surveillance interne (IOO) à sa demande d’évaluation de la gestion. Que la décision contestée soit légale de savoir si le demandeur est admissible à recevoir une indemnité de résiliation en l'espèce, la requérante a rejoint WMO le 1er juillet 1999. Son âge normal de retraite est donc de 62 ans en vertu de l'art. 1 des règlements UNJSPF...