2012-UNAT-192, Akyeampong
Unat a examiné les appels du Secrétaire général et du M Akyampong sur la question de savoir si Mme Akyampong pourrait se voir refuser une promotion en raison des deux réprimandes. Unat a soutenu que les deux réprimandes n'avaient pas été un obstacle à MS Akyampong pour remplir une position D-1 ou être recommandé pour une promotion. De plus, Unat a jugé que la présence des deux réprimandes ne l'avait pas empêchée d'être promue lors de la session de promotion annuelle de 2009. L'UNAT a autorisé l'appel de Mme Akyampong en partie, a annulé la décision contestée et a rejeté l'appel du Secrétaire général, avec le juge Weinberg de Roca.
Mme Akyampong a contesté la décision de ne pas la promouvoir. UNDT a constaté que le haut-commissaire avait commis une irrégularité procédurale dans la session de promotion. Undt a annulé la décision contestée et a ordonné l'indemnisation comme alternative à la résiliation. UND a rejeté la réclamation de Mme Akyampong en matière de dommages et intérêts. UND a rejeté la revendication de Mme Akyampong en matière de dommages morales, constatant que Mme Akyampong n'avait aucune chance d'être promue même si aucune irrégularité ne s'était produite.
Une réprimande n'est pas une entrée défavorable comme une entrée relative à la sanction post-disciplinaire. Une réprimande est enregistrée dans le dossier du membre du personnel pour servir de rappel et si le membre du personnel commet à nouveau une faute, l'administration peut administrer une sanction plus sévère.