2013-UNAT-307, Shanks
Unat a considéré un appel du Secrétaire général contre le jugement n ° UNT / 2011/209 (sur responsabilité) et UNDT / 2012/062 (sur la réparation). Unat a jugé qu'il n'y avait aucune preuve à l'appui de la conclusion de l'UNT selon laquelle, si le comité des retraites du personnel de l'ONU (UNSPC) n'avait pas procédé à sa décision, Mme Shanks aurait plus probablement jugé apte à reprendre ses fonctions. Unat a jugé que la seule conclusion valable disponible sur les preuves médicales était que Mme Shanks n'avait pas le droit de retourner au travail à temps partiel, car elle n'a pas pu obtenir l'autorisation médicale le permettant. Unat a estimé qu'il était approprié que le Secrétaire général licencie la nomination de Mme Shanks, car il n'y avait pas d'autre option. L'UNAT a jugé que l'incapacité de Mme Shanks à satisfaire aux exigences politiques minimales du PNDP pour un emploi à temps partiel était une preuve cruciale que l'UNDT n'avait pas considéré correctement et que cet échec a conduit les erreurs factuelles à de graves, ce qui a entraîné des décisions manifestement déraisonnables. Unat a jugé que ces erreurs factuelles entachaient à la fois des jugements undt et rendent les conclusions qui y sont intenables. Unat a jugé que l'échec des ressources humaines à informer Mme Shanks qu'une détermination du handicap entraînerait sa fin n'a eu aucune conséquence pour Mme Shanks. Unat a estimé que Mme Shanks n'a subi aucun préjudice réel qui pourrait entraîner des dommages-intérêts indemnisables. Unat a confirmé l'appel et a quitté les deux jugements undt.
Le demandeur, qui a été gravement blessé dans un accident de véhicule à moteur en route vers le travail, a été hospitalisé et est resté en congé de maladie pendant plusieurs mois, a contesté la décision de la séparer du service pour des raisons d'incapacité. Dans le jugement n ° UNDT / 2011/209, UNDT a trouvé en faveur du demandeur en responsabilité. Dans le jugement n ° UNDT / 2012/062, UND a accordé aux dommages-intérêts pécuniaires et non pécuniaires du demandeur.
Des préjugés réels sont requis pour recevoir une indemnité.