2019-UNAT-974, Salah
Unat a jugé que l'appelant n'avait pas identifié de motifs de son appel. Unat a jugé que le cas de l'appelant était entièrement et assez pris en compte. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait correctement fondé sa conclusion sur la légalité de la décision de licenciement sur l'évaluation médicale par le Conseil médical et sans conclusions médicales. Unat a jugé que la décision de résilier la nomination de l'appelant pour des motifs médicaux était un exercice raisonnable et valable de la discrétion de l'UNRWA. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas répondu au fardeau de la preuve de démontrer une erreur dans le jugement contesté, tel que pour justifier son renversement. Unat a jugé que les nouveaux problèmes soulevés par l'appelant n'étaient pas à recevoir, car ils n'ont pas été amenés avant Unrwa DT et n'ont pas pu être introduits pour la première fois pour examen par Unat. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Le demandeur a contesté la décision de résilier son rendez-vous à durée déterminée pour des motifs médicaux. L'UNRWA DT a rejeté sa demande, concluant qu'aucune raison n'avait été avancée pour montrer que la décision de résiliation était le produit d'une irrégularité substantielle ou procédurale.
La procédure d'appel est de nature corrective, et ce n'est pas l'occasion pour une partie insatisfaite de réaliser son cas. L'UNAT ne peut examiner la recommandation d'un conseil médical que s'il existe des preuves de motif inapproprié ou d'une irrégularité substantielle ou procédurale. Un appelant a le fardeau de satisfaire un que le jugement qu'il cherche à contester est défectueux.