Le Tribunal a estimé que la requérante n'avait pas rempli les conditions requises pour renverser la présomption selon laquelle la restructuration était réelle et constituait donc une raison valable de ne pas renouveler son accord de libre-échange.
TCNU
Le Tribunal a estimé que la requérante n'avait pas démontré, par des preuves claires et convaincantes, qu'elle s'était vu refuser une chance équitable de promotion. La décision contestée était légale, l'administration ayant exercé de manière appropriée son pouvoir discrétionnaire en matière de sélection du personnel. Le Tribunal n'a trouvé aucune preuve à l'appui du point de vue de la requérante selon lequel sa participation à des discussions « litigieuses » avec la direction de la DGACM en tant que représentante du syndicat du personnel avait une incidence sur la procédure d'entretien pour le...
Le requérant dans cette affaire a eu la possibilité de compléter sa demande avec la condition préalable obligatoire pour le dépôt d'une demande auprès de l'UNDT. Le candidat semble avoir mal compris ce qui constitue une « demande d'évaluation de la gestion ». Il a supposé que le fait de poser des questions sur la procédure au responsable du recrutement, puis au chef du personnel de la mission, constituait une « évaluation de la gestion » aux fins de la procédure devant l'UNDT. Ce n'est pas le cas.
Le Tribunal a observé que, d'après les éléments de preuve figurant dans le dossier, le requérant a reçu la décision contestée le 28 août 2023. Pour respecter le délai de 60 jours calendaires pour demander une évaluation de la gestion, la requérante aurait dû la soumettre au plus tard le 27 octobre 2023. Or, elle l'a soumise le 8 novembre 2023, soit près de deux semaines plus tard. En conséquence, le Tribunal a conclu que la demande de contrôle hiérarchique était prescrite et que, par conséquent, la requête n'était pas recevable ratione materiae. Le Tribunal a rejeté la demande.
Le Tribunal a noté que l'ordonnance n° 20 (NBI/2024) dans l'affaire n° UNDT/NBI/2024/008 a rejeté la demande de suspension de l'action du requérant en vertu de l'art. 13 du règlement intérieur du Tribunal. Le requérant a soutenu que le Tribunal a mal interprété sa demande dans l'affaire n° UNDT/NBI/2024/008 comme étant déposée en vertu de l'art. 13 du Règlement intérieur de l'UNDT (régissant la suspension de l'action pendant une évaluation de la gestion), plutôt que de l'art. 14 (régissant la suspension de l'action pendant la procédure) de ces règles.
Le Tribunal a estimé que, dans la mesure...
Le Tribunal a noté que, sur la base des éléments de preuve dont il disposait et qui n'étaient pas contestés par le requérant, la lettre de sanction avait été émise le 1er juillet 2022 et que le requérant l'avait reçue le 5 juillet 2022. Conformément à la règle 11.2(b) du Règlement du personnel, les décisions disciplinaires ne font pas l'objet d'un contrôle hiérarchique. Cela signifie que le requérant aurait dû déposer sa requête au plus tard le mardi 4 octobre 2022 pour respecter le délai de 90 jours calendaires. Il a déposé sa demande le 31 janvier 2024, soit plus d'un an après le délai légal...
Le Tribunal a noté que les contestations/plaintes du requérant ne découlaient pas d’une décision administrative claire. La première contestation concernait un manquement présumé de l’administration à se conformer pleinement à la section 2.4 ST/AI/1998/9 (Système de classification des postes). La seconde était fondée sur l’hypothèse apparente du requérant selon laquelle il aurait dû être reclassé/promu au niveau GS-7 après la reclassification à la hausse du poste qu’il occupait.
En conséquence, le Tribunal a interprété la requête dans son ensemble pour déterminer exactement le point de départ...
Après avoir examiné le dossier, le Tribunal a conclu que le requérant n’avait pas contesté les faits sur lesquels la mesure disciplinaire était fondée. Il n’a pas contesté non plus que ses actes constituaient juridiquement une faute ou que ses droits à une procédure régulière avaient été respectés. En conséquence, la principale question en l’espèce était de savoir si la mesure disciplinaire imposée était proportionnée à l’infraction commise. Cependant, comme la proportionnalité de la sanction ne peut être examinée de manière isolée, le Tribunal a jugé approprié de se référer aux faits établis...
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Le Tribunal a jugé que dans la mesure où la requérante contestait le cadre juridique du HCR et demandait la suppression d’une partie du paragraphe 34 de la politique de recrutement et d’affectation, sa candidature n’était pas recevable ratione materiae. La candidature n’était recevable qu’en ce qui concerne la décision de ne pas sélectionner la requérante pour le poste G-7 d’associé principal en gestion des ressources, chargé de la lutte contre l’exploitation et les atteintes sexuelles et sexuelles.
Fond
Question de savoir si les procédures applicables ont été correctement...
Lors de l’examen des décisions liées au rendement, ilLe litige entre les parties porte sur la question de savoir si le requérant a rempli la condition de service satisfaisant pendant sa période probatoire pour justifier un droit contractuel à ce que son ATF soit converti en ACR. Dans ce contexte, le requérant prétend que son AFR et son ASR n'ont pas identifié de lacunes de rendement pendant le cycle de rendement, y compris lors des deux entretiens « marquants » sur le rendement qu'ils ont eus avant la décision contestée. Il semblerait que la première fois qu'il a entendu parler d'une...