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Réfugiés : voies d’admission grâce à l’emploi

Les voies d’admission grâce à l’emploi sont des programmes qui permettent aux réfugiés de se rendre dans un autre pays pour y travailler et mettre à profit leurs compétences.

Sœur Rosita Milesi

Sœur Rosita Milesi est la lauréate mondiale de la distinction Nansen pour les réfugiés 2024, ayant consacré sa vie à aider les personnes contraintes de fuir leur pays et cherchant refuge au Brésil. Découvrez son histoire !

Cadette d’une famille de 12 enfants, Maimouna Ba est née et a grandi à Dori, petite ville située dans la vaste région aride et isolée du Sahel, à six heures de route de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso. Animée par une compassion innée et forte des valeurs de solidarité et de partage qu'elle cultive depuis l'enfance, Maimouna tend naturellement la main aux enfants déplacés qu'elle voit arriver par vagues successives à Dori, fuyant leurs régions d'origine pour échapper à la violence des groupes armés.  « Je crois que l'éducation est l'arme la plus puissante pour changer le monde », souligne-t-elle.

Environ 1,2 million de personnes ont dû fuir leur foyer à Beyrouth, la capitale libanaise qui a récemment été marquée par des frappes aériennes meurtrières. Certains trouvent refuge dans des écoles, comme l’école du quartier de Bourj Hammoud qui abrite désormais 1200 familles déplacées.

Réfugiés : les voies d’admission complémentaires dans des pays tiers

Les voies complémentaires sont des voies d’admission sûres et légales pour les personnes qui ont besoin d’une protection internationale, leur permettant de séjourner légalement dans un pays tiers et de bénéficier de la protection internationale dont elles ont besoin.

Des millions de réfugiés syriens s'enfoncent dans la pauvreté

Des millions de réfugiés syriens au Liban n’ont pas les moyens de subvenir à leurs besoins. Dans la région de Bekaa, cette femme de famille nous raconte ses conditions de vie. Ses enfants sont non seulement privés d’éducation, mais aussi de nourriture.

Nyapuot se souvient de cette terrible journée d'avril

Plus d'un an après le début des combats meurtriers entre deux factions militaires rivales au Soudan, plus de 9 millions de personnes ont été forcées de fuir leurs foyers.

Alors que les Jeux olympiques de Paris 2024 touchent à leur fin, le rend hommage à l'équipe olympique des réfugiés pour ses résultats au cours des deux dernières semaines.

Depuis l’éclatement de la guerre le 15 avril 2023, plus de 10 millions de personnes ont fui leur foyer au Soudan en quête de sécurité. Il s'agit actuellement de la pire crise de déplacement interne au monde.

La boxeuse et réfugiée Cindy Ngamba a remporté la première médaille de l'histoire de l'équipe olympique des réfugiés, après avoir gagné son combat en quart de finale et s'être assuré au moins une médaille de bronze.

Abdoul a parcouru un long chemin depuis son départ de Syrie

L’histoire d'Abdoul, réfugié syrien au Brésil, illustre à quel point les réfugiés, lorsqu'on leur en offre la possibilité, peuvent apporter une contribution importante aux communautés qui les accueillent. .

Actuellement, 37 athlètes réfugiés participent aux Jeux olympiques de Paris 2024. Il s’agit de la plus grande équipe depuis la création des équipes de réfugiés du Comité international olympique (CIO) aux Jeux de Rio en 2016. Ils concourent dans 12 disciplines : athlétisme, badminton, boxe, breakdance, canoë, cyclisme, judo, tir, natation, taekwondo, haltérophilie et lutte. Ces 37 athlètes olympiques ont surmonté des obstacles extraordinaires pour se hisser sur la plus haute scène sportive du monde et porter les espoirs de quelque 120 millions de personnes déplacées dans le monde.

Pour les soutenir, l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) et ses partenaires organisent une série d'événements pendant les olympiades de Paris à la Maison des réfugiés, en diffusant les épreuves des athlètes refugiés et en proposant des ateliers sportifs ou artistiques. Découvrez-en plus dans cet .

Des réfugiés et des demandeurs d'asile de tous les âges, originaires de pays tels que l'Ukraine, la Biélorussie, la Colombie, le Venezuela ou le Pérou, pagaient sur le fleuve Guadalquivir, à Séville.

Perina est l'une des plus jeunes athlètes et la seule athlète africaine de l'équipe olympique de réfugiés du Comité International Olympique (CIO), forte de 37 personnes, qui participe cette année à la compétition à Paris.

Une exposition de photos à Paris, organisée à Paris pendant toute la durée des Jeux olympiques et paralympiques, témoigne de l'importance du sport pour les réfugiés et les personnes déplacées. Organisée par l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), la Fondation olympique pour les réfugiés et la Ville de Paris, l'exposition illustre la capacité du sport à améliorer la vie des personnes déplacées de force, que ce soit en leur permettant de nouer des amitiés durables, de combattre les attitudes négatives, de renforcer la cohésion sociale ou d'emmener les meilleurs et les plus talentueux d'entre eux jusqu'aux Jeux olympiques. L'un d'entre eux est Abbas, qui est né sans bras. Après être devenu champion national de natation paralympique en Afghanistan, il a été contraint de fuir en raison des persécutions. Il s'est réfugié en Turquie avant d'être réinstallé aux États-Unis, où il a été sélectionné pour faire partie de l'équipe paralympique des réfugiés de Tokyo 2020.