Ãå±±½ûµØ

DAGGC

Showing 61 - 70 of 122

Undt a dépassé sa juridiction et a commis une erreur de droit en examinant la légalité de la règle 4.7 (a) de la légalité de la règle 4.7. Comme la règle 4.7 (a) a été approuvée par l'Assemblée générale, les tribunaux n'avaient pas le pouvoir d'examiner s'il est ou non en accord avec la Charte des Nations Unies ou toute autre norme supérieure. Néanmoins, l'UNAT a jugé que la règle 4.7 (a) interdit uniquement le secrétaire général «d'accorder un rendez-vous» à une personne qui a une relation familiale étroite mais ne fournit pas de base juridique pour révoquer la nomination d'un membre du...

UNDT/2009/015, Abboud

La «raison de croire» doit être plus qu'une simple spéculation ou suspicion: elle doit être raisonnable et donc basée sur des faits suffisamment bien fondés - bien que bien sûr, pas nécessairement prouvé - pour incliner rationnellement l'esprit du décideur à la croyance. Il est clair que la question est celle des faits et degrés dans lesquels le décideur est tenu d'agir raisonnablement mais qui implique nécessairement l'exercice du jugement. Il est inexact de désigner un tel jugement que l'exercice d'un pouvoir discrétionnaire. Si l'USG dans cette affaire avait en fait décidé qu'il y avait...

UNDT/2009/011, Sefraoui

UNDT a soutenu que ce n'était que lorsque le requérant a appris l'identité du candidat retenu qu'il aurait raisonnablement pu appréhender qu'il y avait des motifs pour un tel examen. Le temps se déroule donc à partir du 2 mars 2008. UNDT a jugé que le délai de dépôt de l'appel était passé à partir du moment où le demandeur a découvert l'identité de la personne qui à son tour a donné naissance à son appréhension qu'il avait des motifs d'appel. En conséquence, sa demande de révision était à temps et son appel est à recevoir.

Le conseil des examinateurs a décidé que le demandeur ne satisfaisait pas aux exigences éducatives. La requérante pensait qu’elle était qualifiée parce qu’elle avait obtenu une formation professionnelle du Centre d’Ecture et de communication («le centre»), et que les remarques de soutien faites à ce sujet par son superviseur et ses collègues de travail ont confirmé sa croyance. Le centre n'était pas une université ou une institution équivalente dans le système éducatif français, et le demandeur n'avait pas «cinq ans de service continu avec le Secrétariat des Nations Unies au 31 décembre 1989»...

L'attribution du poste au candidat finalement retenu ne peut pas être qualifiée de « transfert », qu'il soit latéral ou non. Le candidat finalement retenu a donc été plutôt sélectionné pour le poste. En termes simples, la poste ne constitue pas un transfert latéral. Le défendeur a utilisé la mauvaise procédure. Les requérants, bien que classés derrière le candidat initialement retenu, étaient également des candidats « appropriés » pour le poste. Le Tribunal conclut que l'exercice de sélection du candidat initialement sélectionné était irrégulier. Les requérants ayant été considérés par le...

UNDT/2011/026, Majbri

Après avoir examiné les documents et avoir entendu les preuves du PCO du comité de sélection, le tribunal est convaincu qu'il n'y avait pas d'irrégularité importante en ce que toutes les procédures et directives pertinentes ont été suivies. L’examen par le panel JAB des faits n’est pas entaché par une erreur ou un biais procédural. La demande devant ce tribunal échoue et est rejetée.

UNDT a jugé que les demandeurs peuvent modifier leur demande de rémunération, comme, dans l'ordre n ° 104 (NY / 2011), a spécifiquement appelé à des soumissions mises à jour sur la rémunération, en vertu desquelles undt a ainsi accordé des congés pour les soumissions modifiées des demandeurs. UNDT a nié la demande de rémunération pour la perte de possibilité de poursuivre le nouveau poste de niveau P-4 créé dans les minerais, car les requérants n'ont présenté aucune preuve soutenant leur affirmation selon laquelle ils se sont vu refuser cette opportunité. UNDT a attribué une compensation pour...

UNDT/2013/174, Smith

L'intimé, en plus de s'attaquer aux avantages de l'affaire, a soutenu que la demande d'évaluation de la gestion n'avait pas été déposée à temps et que la demande était barrée dans le temps. Le représentant légal du demandeur a tenté de déposer la demande d'évaluation de la direction à 16 h 54. Le dernier jour de la limite de temps. En raison de la grande taille de la demande, l'e-mail a rebondi à 17 h 21 h 16. Le même jour, vendredi 7 septembre 2012. Dans les circonstances, le demandeur avait encore 6 heures et 48 pour soumettre une demande d'évaluation de la gestion dans le délai de 60 jours...

UNDT/2013/169, A-Ali

Les requérants ont fait valoir qu'ils avaient été informés de la décision le 19 juin 2013 lors de la réception d'un e-mail du directeur, le chef de cabinet en réponse à une lettre du 29 mai 2013. Lors de l'examen, il a été déterminé que la lettre envoyée au Secrétaire général le 29 mai 2013 comprenait une déclaration du 21 mai 2013 par les requérants qui se référaient beaucoup au budget qui avait été soumis le 9 mai 2013. Les demandes d'évaluation de la gestion ont été déposées Le 29 juillet 2013, qui est plus de 60 jours après la déclaration du 21 mai 2013 qui indiquait que les demandeurs...