Le Tribunal a observé que, d'après les éléments de preuve figurant dans le dossier, le requérant a reçu la décision contestée le 28 août 2023. Pour respecter le délai de 60 jours calendaires pour demander une évaluation de la gestion, la requérante aurait dû la soumettre au plus tard le 27 octobre 2023. Or, elle l'a soumise le 8 novembre 2023, soit près de deux semaines plus tard. En conséquence, le Tribunal a conclu que la demande de contrôle hiérarchique était prescrite et que, par conséquent, la requête n'était pas recevable ratione materiae. Le Tribunal a rejeté la demande.
ONUN
La requérante a contesté l'imposition de mesures disciplinaires et non disciplinaires à l'issue d'une procédure disciplinaire ; elle n'était donc pas tenue de demander une évaluation de la gestion, conformément à la règle 11.2(b) du Règlement du personnel. Conformément à l'art. 8.1(d)(ii), sa demande aurait dû être soumise directement à l'UNDT dans les 90 jours calendaires suivant la réception de la décision administrative. La requérante a reçu la lettre de sanction/décision contestée le 1er avril 2022, ce qui signifie qu'elle devait déposer sa demande auprès de l'UNDT au plus tard le 30 juin...
Le Tribunal a estimé que les requérants n'avaient produit aucune preuve à l'appui de l’argument selon lequel les couples hétérosexuels se verraient accorder plus de jours de congé que les couples homosexuels. Le Tribunal a donc conclu que l'allégation d'inégalité de traitement n'avait pas été prouvée par les requérants. En conséquence, la demande a été rejetée.
En l'espèce, le requérant n'a pas demandé le réexamen de la décision contestée par l'évaluation de la gestion, ce qui prive le Tribunal de sa compétence pour examiner cette question plus avant.
En l'espèce, le requérant n'a pas demandé le réexamen de la décision contestée par l'évaluation de la gestion, ce qui prive le Tribunal de sa compétence pour examiner cette question plus avant.
En l'espèce, le requérant n'a pas demandé le réexamen de la décision contestée par l'évaluation de la gestion, ce qui prive le Tribunal de sa compétence pour examiner cette question plus avant.
UNAT conUNAT a considéré un appel de M. Wu et un appel à l'appel par le Secrétaire général. Unat a jugé que l'appel à recevoir était à recevoir, bien qu'il s'agisse d'un jugement par défaut et que le Secrétaire général n'ait pas été autorisé à participer à la procédure ou à déposer une réponse. Unat a jugé que la demande n'était pas à recevoir ratione materiae au motif qu'il n'avait pas fait une demande en temps opportun d'évaluation de la gestion. Unat a jugé que UNDT n'avait donc aucune compétence pour répondre aux avantages des réclamations dans la demande et que ces réclamations n'étaient...
Unat a considéré un (deuxième) appel de l'appelant. Compte tenu du fait que ni UNT ni UNAT n'avaient été présentés avec un mérite de l'affaire, Unat a ordonné à l'appelant de déposer une déclaration concise identifiant la nature précise de sa réclamation dans les 15 jours. UNAT a autorisé l'appel et annulé le jugement UNDT.
UNAT a rejeté préliminairement la demande d'une audience orale, car il n'y avait pas besoin de clarification supplémentaire. Unat a jugé que l'appel n'était pas à recevoir pour ne pas avoir été déposé contre un jugement définitif. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que l'avocat du Secrétaire général n'avait pas été informé de la date d'audience en raison d'une erreur technique dans la communication par e-mail, qui a subi sérieusement la défense du Secrétaire général. Unat a donc jugé que le jugement de l'UND devrait être annulé, et l'affaire s'est retrouvée à nouveau. Non soutenu l'appel et annulé le jugement de l'UND. L'affaire a été renvoyée pour se faire entendre à nouveau.