2020-UNAT-1023, Sirhan
Unat a considéré les appels de M. Sirhan et du commissaire général. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait dépassé sa compétence et a commis une erreur en fait et en la loi en annulant la décision de mettre fin à M. Sirhan pour des motifs médicaux. Unat a jugé que la décision de convoquer un conseil médical plus d'un mois après la blessure incurreuse de M. Sirhan afin d'examiner son aptitude à un service continu avec l'UNRWA était raisonnable. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur dans la loi dans l'interprétation des règles du personnel de la région comme obligeant l'UNRWA à fournir aux membres du personnel blessé du temps de récupération avant de décider de nommer un conseil médical pour examiner l'emploi futur de ce membre du personnel. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur en décidant que la décision de convoquer un conseil médical moins de deux mois après la blessure incurreuse du membre du personnel était illégale et que, par conséquent, la résiliation était illégale. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur en tenant compte des preuves supplémentaires sous la forme de certificats médicaux produits par M. Sirhan après que le conseil médical avait signalé à l'UNRWA afin de renverser les conclusions du conseil médical, notant que M. Sirhan avait eu le Possibilité de présenter ces preuves au conseil médical avant de tirer ses conclusions. Unat a jugé que le jugement de l'UNRWA DT était erroné. UNAT a rejeté l'appel de M. Sirhan, autorisé l'appel de l'UNRWA et annulé le jugement de l'UNRWA DT. Le juge Colgan s'est dissipé.
Le demandeur a contesté la décision de résilier son service pour des motifs médicaux. L'UNRWA DT a constaté que la décision de convoquer une commission médicale moins de deux mois après la blessure incurretée par le service afin d'examiner l'aptitude du membre du personnel pour le service continu était manifestement déraisonnable et ne lui a pas donné un temps suffisant pour la récupération. UNRWA DT a ordonné l'annulation de la décision de résilier le service du membre du personnel pour des motifs médicaux ou le paiement de l'indemnisation au lieu.
L'UNRWA a un large pouvoir discrétionnaire pour exiger qu'un membre du personnel subisse un examen médical à tout moment qu'il peut juger nécessaire. Des preuves supplémentaires non présentées en premier lieu, malgré une partie ayant eu l'occasion de la présenter à ce moment-là , n'est généralement pas admissible en appel.