UNDT/2010/042, Gomez
Break in Service: Le Tribunal n'a pas trouvé de politique sur les ruptures obligatoires de service et aucun document n'a été produit l'enregistrement. L'intimé n'a pas démontré une application cohérente de la pratique de la séparation forcée entre les contrats temporaires. De plus, il y a eu un retard délibéré dans la progression de la nomination du demandeur qui était à son détriment. Compensation: Le demandeur doit être placé dans la position comme s'il n'y avait pas eu de rupture de ce type en mai 2008. La manière dont le demandeur a été traité, aggravé par l'exercice d'un abus de pouvoir, a causé une détresse considérable, une détresse considérable, Anxiété et incertitude concernant ses avantages à la retraite. Le tribunal est nécessaire d'abord pour évaluer le degré auquel elle a subi des blessures à ses sentiments aggravés par le comportement élevé et la mauvaise utilisation du pouvoir par le chef des ressources humaines. Cela fait, le Tribunal est tenu de placer une valeur monétaire à ce sujet pour compenser le demandeur. Bien que la détresse ait été considérable, elle n'était pas à l'extrémité supérieure extrême de l'ampleur des récompenses qui peuvent être effectuées dans de tels cas. L’intimé est condamné à payer au demandeur l’équivalent de deux mois de salaire de base nette pour la détresse et les blessures émotionnelles. Les parties reçoivent l'ordre de tenter de convenir d'un remède qui placera le demandeur dans le poste qu'elle aurait été si elle n'avait pas été obligé de prendre une pause en mai 2008. Les parties doivent déposer une soumission conjointe indiquant s'ils ont atteint un accord sur la rémunération.
Le demandeur a été sélectionné pour un poste temporaire. Sa mission s'est terminée lorsque le titulaire du poste est revenu de la mission.
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