UNDT/2020/221, Ular
En matière de non-sélection, il est évident que le demandeur devait passer un test mais pas. La requérante n'a pas expliqué pourquoi elle n'avait pas réussi le test en termes de termes qui montrent que l'administration doit assumer la responsabilité de cet échec. UNDT a estimé que le demandeur devait assumer la responsabilité de cet échec et ne peut donc blâmer personne autre qu'elle pour la non-sélection. Undt a rejeté cet aspect de la demande. UNDT a jugé que la conclusion selon laquelle il n'y avait pas suffisamment de preuves pour poursuivre la question du harcèlement sexuel qui traitait d'abus de maltraitance d'autorité de la part de l'intimé. UNDT a ordonné à l'intimé de fournir au demandeur une explication claire de la décision de ne pas poursuivre l'allégation de harcèlement sexuel en un mois. Undt a rejeté la demande de dommages-intérêts moraux, car la preuve requise requise pour étayer l'imposition d'autres recours demandés par le demandeur n'a pas été fourni.
La requérante a contesté les décisions qu'elle a décrites comme: «(a) le harcèlement continu, le traitement injuste et l'abus d'autorité qui ne peuvent pas être classés comme une seule décision; b) violation de plusieurs règles et règlements; c) ne pas être considéré et contourné pour la promotion à plusieurs reprises reposant avec une décision prise le 22 janvier 2019; (d) ne pas être rémunéré pour le travail effectué à un niveau supérieur; et (e) ne pas répondre à une réclamation pour harcèlement sexuel et abus. »
La gravité d'une accusation, comme le harcèlement sexuel, exige que l'administration montre à tout le moins qu'il y avait un processus impliqué dans lequel le demandeur a été correctement informé et capable de commenter pour corriger les perceptions des faits ou des interprétations des règles du personnel.