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Nairobi

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UNDT/2024/051, Shaban

Le requérant dans cette affaire a eu la possibilité de compléter sa demande avec la condition préalable obligatoire pour le dépôt d'une demande auprès de l'UNDT. Le candidat semble avoir mal compris ce qui constitue une « demande d'évaluation de la gestion ». Il a supposé que le fait de poser des questions sur la procédure au responsable du recrutement, puis au chef du personnel de la mission, constituait une « évaluation de la gestion » aux fins de la procédure devant l'UNDT. Ce n'est pas le cas.

UNDT/2024/050, Nduati

Le Tribunal a observé que, d'après les éléments de preuve figurant dans le dossier, le requérant a reçu la décision contestée le 28 août 2023. Pour respecter le délai de 60 jours calendaires pour demander une évaluation de la gestion, la requérante aurait dû la soumettre au plus tard le 27 octobre 2023. Or, elle l'a soumise le 8 novembre 2023, soit près de deux semaines plus tard. En conséquence, le Tribunal a conclu que la demande de contrôle hiérarchique était prescrite et que, par conséquent, la requête n'était pas recevable ratione materiae. Le Tribunal a rejeté la demande.

N/A

Le Tribunal a noté que l'ordonnance n° 20 (NBI/2024) dans l'affaire n° UNDT/NBI/2024/008 a rejeté la demande de suspension de l'action du requérant en vertu de l'art. 13 du règlement intérieur du Tribunal. Le requérant a soutenu que le Tribunal a mal interprété sa demande dans l'affaire n° UNDT/NBI/2024/008 comme étant déposée en vertu de l'art. 13 du Règlement intérieur de l'UNDT (régissant la suspension de l'action pendant une évaluation de la gestion), plutôt que de l'art. 14 (régissant la suspension de l'action pendant la procédure) de ces règles.

Le Tribunal a estimé que, dans la mesure...

Le Tribunal a noté que, sur la base des éléments de preuve dont il disposait et qui n'étaient pas contestés par le requérant, la lettre de sanction avait été émise le 1er juillet 2022 et que le requérant l'avait reçue le 5 juillet 2022. Conformément à la règle 11.2(b) du Règlement du personnel, les décisions disciplinaires ne font pas l'objet d'un contrôle hiérarchique. Cela signifie que le requérant aurait dû déposer sa requête au plus tard le mardi 4 octobre 2022 pour respecter le délai de 90 jours calendaires. Il a déposé sa demande le 31 janvier 2024, soit plus d'un an après le délai légal...

UNDT/2024/034, IK

Ce cas a révélé un harcèlement sexuel manifeste où des mots et des attouchements physiques ont été utilisés et tentés pour obtenir des faveurs sexuelles, mais même si aucune faveur n'a été obtenue, le harcèlement a causé un préjudice à la victime qui a craint de perdre son poste au sein de l'Organisation et a provoqué des tensions inutiles dans les relations de travail entre les personnes impliquées.

Dans ce cas, les mots et les actes ont été utilisés ensemble pendant une courte période de persistance.

Lorsque cela se produit dans un environnement de travail, cela peut causer un stress...

Le Tribunal a observé que l'examen des éléments de preuve dans cette affaire indiquait que l'évaluation de l'entretien du requérant par le jury était correcte. Par conséquent, le Tribunal a estimé que le requérant avait bénéficié d'un examen complet et équitable et que l'administration avait suivi toutes les procédures applicables.

Le Tribunal a conclu que la promulgation de l'instruction ST/AI/2018/Rev.1/Amend.1, qui redéfinit de manière restrictive les frais d'inscription, n'était pas conforme à la résolution 70/244 de l'Assemblée générale. En tant que telle, sa promulgation constituait un abus du pouvoir discrétionnaire de l'Administration et son application dans le cadre de l'examen de l'allocation scolaire de la requérante pour son fils était illégale.
En conséquence, le Tribunal a estimé que la requérante avait raison de dire que les frais qu'elle réclamait étaient admissibles en tant que frais de scolarité, en...

Le Tribunal a rappelé qu'en vertu de l'art. 2.1(a) de son statut, il est compétent pour connaître et juger d'un recours contre "une décision administrative dont il est allégué qu'elle n'est pas conforme aux conditions de nomination ou au contrat d'engagement". Le Tribunal d'appel a expliqué que cette disposition établit une "condition préalable de compétence, à savoir l'impact immédiat, direct et négatif" de la décision administrative contestée sur le membre du personnel.

Après avoir examiné le dossier, le Tribunal a conclu qu'en l'espèce, il n'y avait pas de preuve d'un tel impact négatif...

Le Tribunal a observé que les faits de cette affaire étaient très clairs d'après les témoignages et le dossier. Le requérant a admis que les reçus d'hôtel qu'il avait fournis à l'Organisation étaient faux. Le Tribunal a donc estimé que le défendeur avait prouvé par des preuves accablantes, au-delà de tout doute possible, que le requérant avait présenté de faux reçus à des fins de remboursement et que, par conséquent, il avait reçu 18 519,12 USD. Le Tribunal a en outre établi qu'il existait des preuves claires et convaincantes que le requérant devait au moins 17 213 USD à l'Organisation.

En ce...

En ce qui concerne la question de savoir si les faits ont été établis par des preuves claires et convaincantes, le Tribunal a estimé que, sur la base des témoignages crédibles et des autres éléments de preuve figurant dans le dossier, le défendeur avait établi par des preuves claires et convaincantes que le requérant avait commis les actes à l'origine de la mesure disciplinaire imposée. Le Tribunal a estimé que le témoignage de la victime était crédible et a établi que le requérant avait effectivement harcelé sexuellement la victime. En ce qui concerne l'inconduite, le Tribunal a conclu qu'il...