Unat a jugé que, en répondant aux demandes de renonciation à l'immunité d'un fonctionnaire, l'organisation doit se conformer à ses obligations légales envers l'État membre de demande en vertu des instruments internationaux concernés, qui limitent l'immunité aux actes officiels et obligent le Secrétaire général à coopérer à la À tout moment avec les autorités appropriées pour faciliter la bonne administration de la justice et pour prévenir la survenue de tout abus en relation avec les privilèges et les immunités. Unat a noté que le Secrétaire général est le mieux placé pour apprécier la nature...
Levée de l'immunité
Unat a jugé que l’UNDT conclut que le défi à la décision du Secrétaire général de ne pas renoncer à l’immunité de M. Dolgopolov n’était pas à recevoir au motif qu’il s’agissait d’une décision exécutive / politique est incorrecte. Unat a toutefois détenu que UNT avait raison de trouver les demandes de M. Dolgopolov non à recevoir, mais pour d'autres raisons. Unat a jugé que les demandes de M. Dolgopolov n'étaient pas à recevoir, car il n'a pas renvoyé la décision contestée concernant sa demande de poursuivre l'ambassadeur ukrainien à l'évaluation de la direction, et la décision concernant les...
je. Que la suspension du demandeur du 26 mai 2006 soit légale: le tribunal a constaté que le chef de la sécurité / unon unon unilatéralement et verbalement suspendu le demandeur en violation des règles du personnel à ce moment-là . Il a été noté qu'une telle décision ne pouvait être prise que par le secrétaire général adjoint, Office of Human Resources Management (ASG / OHRM) qui était l'individu correctement délégué. De plus, le demandeur n'a pas reçu de raisons de sa suspension et la suspension n'a pas été effectuée conjointement avec une accusation de faute. ii Si le demandeur a été...
Le Tribunal a constaté que: 1) la DG a échoué dans son obligation légale de réexaminer et de nommer rapidement un jury d'enquête sur la plainte du demandeur de conduite interdite et que le retard a été illégal et a entraîné de graves conséquences pour le demandeur. 2) L'instigation par DSS ONÃå±±½ûµØde la détention et de la charge du demandeur par la police du Kenya sans renonciation à l'immunité par le secrétaire général était illégal. 3) DSS ONÃå±±½ûµØa agi secrètement à l'insu du directeur général ou du siège des Nations Unies dans ses relations avec la police du Kenya le 21 août. Cela a empêché les...