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Management Evaluation

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Le commissaire général a fait appel.

L'UNAT a estimé que dans la mesure où la décision de l'Agence du 25 avril 2019 rejetant la demande de SPOA n'aurait pas pu être sans équivoque, cette décision a été réitérée dans le courrier électronique du 17 juin 2019, ne laissant aucun doute sur le fait que l'Agence avait alors décidé de payer Mme Abou Salah une SPOA de 15 pour cent au lieu de 25 pour cent, peut-être en violation de son contrat. Le fait que d’autres personnes aient par la suite cherché à intervenir en sa faveur n’y change rien.

L’UNAT a estimé que la correspondance ultérieure de Mme...

Lorsqu'un agent conteste plusieurs décisions administratives différentes qui doivent être considérées comme un tout, avec un effet cumulatif, il n'est pas nécessaire de les contester une à une (par une demande d'évaluation de la gestion et ensuite par une requête devant le Tribunal).

Le requérant allègue qu'il a été privé de ses fonctions essentielles en 2018 et 2019, soit plus de deux ans avant la demande. Il n'a demandé l'évaluation de sa gestion qu'en avril 2021 contre une décision de 2018, et non contre les décisions administratives ultérieures. Même si le Tribunal admettait que la...

L'UNAT a examiné un appel de M. Dorji.

L'UNAT a estimé que l'appel était défectueux dans la mesure où il n'avait identifié aucun des cinq moyens d'appel énoncés à l'article 2(1) du Statut comme constituant la base juridique de l'appel. Comme le TCNU l'a estimé à juste titre, la démission forcée alléguée de M. Dorji et sa séparation ultérieure de l'Organisation ont eu lieu en mars et avril 2019. La demande de contrôle hiérarchique de M. Dorji a été déposée en dehors du délai légal de 60 jours de plus de deux ans, le 25 juin 2021.

L'UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement n° UNDT/2021...

Mme Mkhabela a fait appel.

En ce qui concerne la recevabilité ratione temporis, l'UNAT a estimé que le RC ne pouvait pas être considéré comme ayant légalement prolongé les délais de dépôt d'une demande de contrôle hiérarchique. Outre le fait qu’il n’existe aucune preuve d’une telle promesse, la vérité est que le CR ne disposait pas d’un tel pouvoir, qui est uniquement conféré au Secrétaire général, comme le prescrit l’article 11.2(c) du Règlement du personnel. De même, l'affirmation de Mme Mkhabela selon laquelle elle n'a pas été informée des raisons ou de la décision de s'écarter du plan de...

La requérante a commis une erreur en estimant que le BSCI ne faisait pas partie de l'Administration et que sa décision ne constituait pas une décision administrative définitive susceptible d'être contestée. En effet, le BSCI fait partie du Secrétariat. Il « opère sous l’autorité » du Secrétaire général, tout en conservant son « indépendance » opérationnelle. En conséquence, les décisions prises par le BSCI peuvent constituer, en fait, une décision administrative définitive.

Le fait que le requérant ait présenté deux rapports, l'un au BSCI et l'autre à l'Administration, n'obligeait aucune...

Le demandeur a demandé une évaluation de la gestion le 27 janvier 2023. La date limite pour la réponse à l'évaluation de la gestion était le 13 mars 2023. Le requérant a déposé sa demande le 13 février 2023, soit 28 jours avant la date limite de réponse à l'évaluation de la gestion. Par conséquent, le Tribunal a estimé que la demande avait été déposée prématurément et qu'elle n'était donc pas recevable.

Unat a jugé que le consentement de l'appelant à avoir précédé une audience en personne n'était pas requis, conformément à la règle 22 des règles du Conseil d'appel de l'OACI et de la règle 111.1 du personnel de l'OACI 111.1. L'appelante a été informée par le Board d'appel de l'OACI de son intention de procéder à une décision sommaire et elle a participé à ce processus en faisant des soumissions sans s'y opposer. Par conséquent, ce n'était pas une erreur de droit pour que le conseil d'appel de l'OACI ait examiné et décidé le jugement sommaire sans audience en personne, mais autrement en...