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Ayant reçu la réponse de l'évaluation de la gestion le 25 octobre 2022, le requérant disposait de 90 jours pour déposer une demande conformément à l'article 8(1)(d)(i(a) du Statut de l'UNDT. 8(1)(d)(i)(a) du Statut de l'UNDT, c'est-à-dire avant le 23 janvier 2023, mais ne l'a pas fait. Par conséquent, dans la mesure où la demande est fondée sur la réponse de l'évaluation de la gestion du 25 octobre 2022, elle n'est pas recevable ratione temporis.

En ce qui concerne la décision du 4 octobre 2022, le requérant n'a pas demandé l'évaluation de ladite décision par la direction et la requête n'est...

Le recours n'est pas recevable ratione materiae pour deux raisons. Premièrement, la décision prétendument contestée n'a pas la capacité de produire des conséquences juridiques directes affectant les conditions d'emploi du requérant et, par conséquent, n'est pas une décision administrative révisable relevant de la compétence du Tribunal. Deuxièmement, le requérant n'a pas déposé de demande d'évaluation de la gestion dans les délais légaux.

L'UNAT a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en concluant que les faits à l'origine de la réprimande écrite étaient établis. L’UNAT a reconnu que le plaidoyer de Mme Kamara-Joyner en faveur d’un membre individuel du personnel ne relevait pas de ses rôles et fonctions, tant en sa qualité de chargée de résolution des conflits pour l’UNOMS que de présidente de l’UNPAD. L'UNAT a constaté que Mme Kamara-Joyner n'avait pas expressément demandé l'approbation du conflit d'intérêts entre ses deux fonctions et avait refusé de suivre les instructions visant à éliminer le conflit d'intérêts...

L'UNAT a estimé que l'appel contre les deux ordonnances interlocutoires était devenu sans objet après le prononcé du jugement n° UNDT/2022/124 et que l'UNDT n'avait pas commis d'erreur en rendant son jugement pendant la durée de cet appel. L'UNAT a néanmoins observé que l'UNDT avait commis une erreur de droit en imposant un délai déraisonnablement court pour se conformer à l'ordonnance n° 157 (NBI/2022). Malgré cela, l'UNAT a conclu que, la procédure étant irrecevable, cette conclusion n'était pas d'une grande aide pour l'appelant dans sa cause. Concernant l'ordonnance n° 158 (NBI/2022), l...

L'UNAT a examiné un appel de M. Dorji.

L'UNAT a estimé que l'appel était défectueux dans la mesure où il n'avait identifié aucun des cinq moyens d'appel énoncés à l'article 2(1) du Statut comme constituant la base juridique de l'appel. Comme le TCNU l'a estimé à juste titre, la démission forcée alléguée de M. Dorji et sa séparation ultérieure de l'Organisation ont eu lieu en mars et avril 2019. La demande de contrôle hiérarchique de M. Dorji a été déposée en dehors du délai légal de 60 jours de plus de deux ans, le 25 juin 2021.

L'UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement n° UNDT/2021...

La requérante a commis une erreur en estimant que le BSCI ne faisait pas partie de l'Administration et que sa décision ne constituait pas une décision administrative définitive susceptible d'être contestée. En effet, le BSCI fait partie du Secrétariat. Il « opère sous l’autorité » du Secrétaire général, tout en conservant son « indépendance » opérationnelle. En conséquence, les décisions prises par le BSCI peuvent constituer, en fait, une décision administrative définitive.

Le fait que le requérant ait présenté deux rapports, l'un au BSCI et l'autre à l'Administration, n'obligeait aucune...

Unat a jugé que le consentement de l'appelant à avoir précédé une audience en personne n'était pas requis, conformément à la règle 22 des règles du Conseil d'appel de l'OACI et de la règle 111.1 du personnel de l'OACI 111.1. L'appelante a été informée par le Board d'appel de l'OACI de son intention de procéder à une décision sommaire et elle a participé à ce processus en faisant des soumissions sans s'y opposer. Par conséquent, ce n'était pas une erreur de droit pour que le conseil d'appel de l'OACI ait examiné et décidé le jugement sommaire sans audience en personne, mais autrement en...

UNAT a considéré l'appel de l'appelant et a constaté que l'appelant avait dépassé le délai obligatoire pour demander l'évaluation de la gestion de la décision contestée. L'UNAT a jugé que la demande de suspension d'action pendant la durée de l'évaluation de la gestion était déclarée à juste titre non à recevoir car elle était barrée. Unat a soutenu que UNDT ne dépassait pas ou n'exerçait pas à tort sa juridiction en rejetant la suspension de l'action. Undt a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.

Notant l'affirmation du Secrétaire général selon laquelle le revue administrative par l'OACI est l'équivalent de l'évaluation de la gestion en vertu de l'article 7 (3) de la loi Unat, et l'article 7 (3) doit être interprété de la même manière que l'article 8 (3) de la UNDT Statut, Unat a convenu que l'article 7, paragraphe 3, interdit à Unat de renoncer à la date limite par laquelle l'appelant devait demander un examen administratif. Unat a jugé qu'il n'avait pas compétence ou compétence pour répondre aux avantages des allégations de fond de l'appelant, car Ajab n'a pas considéré le fond de...