Le TANU a estimé que, puisque M. Nigam avait fondé son recours interlocutoire sur de prétendues erreurs de fait et de droit commises par le juge-président du TANU, sans alléguer que le TANU avait agi de manière extrajudiciaire ou en outrepassant sa compétence, il devait attendre, pour exercer son droit de recours, qu'une décision finale ait été rendue.
Le TANU a conclu qu'un arrêt antérieur du TANU ne contenait aucune indication de partialité du juge Belle à l'encontre de M. Nigam, ni aucune critique allant au-delà de ce qu'un observateur raisonnablement informé pourrait attendre d'un arrêt...
Appel interlocutoire ou intérimaire / Appel de l'ordonnance du TCNU auprès de l'TANU
Le TANU a noté que le Tribunal du contentieux administratif avait rendu l'ordonnance contestée faisant droit à la demande de prorogation du délai de dépôt de la requête sans que la partie lésée ait été entendue et sans être habilité à le faire. Le TANU a estimé que le Tribunal du contentieux administratif ne s'était pas techniquement conformé à ses propres instructions pratiques en rendant l'ordonnance et qu'il avait peut-être strictement violé les principes de justice naturelle et de procédure régulière en ne donnant pas au Secrétaire général un préavis suffisant de la requête et la...
L'UNAT a estimé que l'appel contre les deux ordonnances interlocutoires était devenu sans objet après le prononcé du jugement n° UNDT/2022/124 et que l'UNDT n'avait pas commis d'erreur en rendant son jugement pendant la durée de cet appel. L'UNAT a néanmoins observé que l'UNDT avait commis une erreur de droit en imposant un délai déraisonnablement court pour se conformer à l'ordonnance n° 157 (NBI/2022). Malgré cela, l'UNAT a conclu que, la procédure étant irrecevable, cette conclusion n'était pas d'une grande aide pour l'appelant dans sa cause. Concernant l'ordonnance n° 158 (NBI/2022), l...
L'UNAT a rejeté l'appel interlocutoire comme non à recevoir au motif que l'UNDT n'avait pas clairement dépassé sa compétence ou sa juridiction ou a assumé une juridiction qu'elle n'avait pas lorsqu'elle a consolidé les affaires de M. Toson. L'UNAT a également convenu avec le Secrétaire général que M. Toson avait avancé des arguments infructueux similaires dans une affaire UNAT antérieure qu'il a apportée, mais M. Toson a refusé d'être guidé par ce jugement avant de poursuivre le présent appel. L'UNAT a mis M. Toson en avis qu'il risque qu'il en résulte une attribution de coûts pour des litiges...
En ce qui concerne l'appel contre l'ordonnance de l'UNT pour la radiation des documents contestés de son dossier, Unat a constaté qu'il était à recevoir parce que, à moins que les documents ne soient conservés pour être utilisés au procès, ils pourraient être perdus avec la conséquence que le Secrétaire général serait Soyez incapable de les utiliser pour établir ses allégations de contrefaçon et de fraude comme il avait droit. Unat a constaté que l'ordre de l'UNDT était, à cet égard, effectivement irrémédiable; que ce serait une conséquence manifestement déraisonnable de l'ordre pour le...
Unat a jugé que la détermination du directeur du bureau d'éthique qu'aucune représailles ne s'était produite constituait une décision administrative qui a été directement au fond de l'affaire et ne pouvait pas être soumise à un appel interlocutaire. Unat a jugé que l'appel contre l'ordonnance de la production de documents de l'UNRWA DT n'était pas à recevoir, car il a été lié à l'absence présumée de compétence. Notant que l'appelant ne serait pas en mesure de soulever ses problèmes dans un appel contre le jugement définitif, car il n'a pas déposé de demande à Unrwa DT et Unrwa DT n'avait pas...
Le Secrétaire général a déposé des appels contre les ordonnances de l'UNT. L'UNAT a déterminé que, généralement, seuls les appels contre les jugements finaux sont à recevoir. Unat a noté qu'un appel interlocutoire est exceptionnellement à recevoir dans les cas où undt a clairement dépassé sa juridiction ou sa compétence. Unat a soutenu qu'il n'interférerait pas à la légère avec la grande discrétion de l'UNDT dans la gestion des cas. De plus, Unat a noté que l'un des objectifs du nouveau système d'administration de la justice rend les jugements en temps opportun; Les affaires avant UNDT...
Unat a considéré un appel contre l'ordonnance n ° UNT / NBI / O / 2010/023 par le Secrétaire général. En appliquant le principe selon lequel une partie en faveur duquel une affaire a été décidée n'est pas autorisée à faire appel à l'arrêt pour des motifs juridiques ou académiques, Unat a jugé que l'ordonnance n'avait aucun effet pratique après le retrait de la demande de suspension d'action. Unat a jugé que l'appel était sans objet car il était académique et a demandé un avis sur les questions soulevées dans l'appel. UNAT a rejeté l'appel.
UNAT a rejeté l'appel interlocutoire du Secrétaire général contre l'ordonnance de l'UND comme non à recevoir, concluant que l'UNT avait une autorité discrétionnaire dans la gestion des cas et la production de preuves dans l'intérêt de la justice. Unat a jugé que UNDT avait décidé d'une mesure d'enquête, dont il avait la seule autorité d'évaluation. Unat a soutenu qu'il n'était pas dans l'intérêt du système interne de justice d'envisager un appel contre une simple mesure d'enquête.
Le secrétaire général a fait appel, affirmant que UNT a dépassé sa compétence en ordonnant la suspension de la décision de ne pas renouveler la nomination de M. Onana jusqu'à ce qu'elle détermine la demande de fond sur ses mérites. Unat a noté que l'exclusion du droit de faire appel d'une décision de suspendre l'exécution d'une décision administrative constitue une exception au principe général du droit de faire appel et doit donc être interprété de justesse; Cette exception ne s'applique qu'aux décisions juridictionnelles ordonnant la suspension d'une décision administrative en attendant une...